Le Saint Siège a signé un accord sans précédent avec « l’Etat palestinien » fin juin 2015. L’accord exprime le soutien du Vatican à une solution « du conflit entre Israéliens et Palestiniens dans le cadre de la formule de deux Etats ».
Cet accord vient d‘entrer en vigueur.
Frédéric Encel s’est exprimé sur cet accord sur RCF. Il a déclaré, que « le Vatican n’avait qu’entériné un état de fait décidé par les Nations Unies ».
Cet accord met en place une « série de clauses de reconnaissance culturelle, la garantie de sécurité sur un certain nombre de lieux de culte qui se situent dans les territoires palestiniens. »
Selon l’historien, cette reconnaissance vient compléter l’accord de reconnaissance dit fondamental datant du 30 décembre 1993 qui avait reconnu l’existence de l’État d’Israël. Selon Frédéric Encel, les Palestiniens attendaient « un geste » du Vatican dans ce sens.
Le Vatican représente aujourd’hui une institution morale et spirituelle. Cependant sur le terrain, elle ne possède pas « des moyens matériels nécessaires pour imposer ses décisions ».
Ainsi dans les faits cette reconnaissance ne changera pas la donne et est qualifiée, par Frédéric Encel de « réconfort psychologique pour la minorité chrétienne locale ».
Le Saint Siège a signé un accord sans précédent avec « l’Etat palestinien » fin juin 2015. L’accord exprime le soutien du Vatican à une solution « du conflit entre Israéliens et Palestiniens dans le cadre de la formule de deux Etats ».
Cet accord vient d‘entrer en vigueur.
Frédéric Encel s’est exprimé sur cet accord sur RCF. Il a déclaré, que « le Vatican n’avait qu’entériné un état de fait décidé par les Nations Unies ».
Cet accord met en place une « série de clauses de reconnaissance culturelle, la garantie de sécurité sur un certain nombre de lieux de culte qui se situent dans les territoires palestiniens. »
Selon l’historien, cette reconnaissance vient compléter l’accord de reconnaissance dit fondamental datant du 30 décembre 1993 qui avait reconnu l’existence de l’État d’Israël. Selon Frédéric Encel, les Palestiniens attendaient « un geste » du Vatican dans ce sens.
Le Vatican représente aujourd’hui une institution morale et spirituelle. Cependant sur le terrain, elle ne possède pas « des moyens matériels nécessaires pour imposer ses décisions ».
Ainsi dans les faits cette reconnaissance ne changera pas la donne et est qualifiée, par Frédéric Encel de « réconfort psychologique pour la minorité chrétienne locale ».
http://fr.timesofisrael.com/la-vision-de-frederic-encel-sur-laccord-entre-le-vatican-et-les-palestiniens/