Débardeurs antisémites en vente dans une boutique à Paris

Franchement Guitl, tu arrives a reconnaitre un Chinois d'un autre?
Je suis a peu pres sur que non, meme si tu habites a proximite de Chinatown.

georges972 a écrit:

Franchement Guitl, tu arrives a reconnaitre un Chinois d'un autre?
Je suis a peu pres sur que non, meme si tu habites a proximite de Chinatown.

on a dit ça des noirs à une époque et les noirs disent ça des blancs. C'est parce que vous ne prenez pas la peine de les regarder.

Ce n'est pas a cause de cela. Pour les Chinois, tous les Blancs se ressemblent. Et pour nous, tous les Jaunes sont Chinois. On ne reconnait que ce qui nous ressemble, c'est l'une des raisons (il y en a d'autres) pourquoi nous n'avons jamais vu d'OVNI

georges972 a écrit:

Ce n'est pas a cause de cela. Pour les Chinois, tous les Blancs se ressemblent. Et pour nous, tous les Jaunes sont Chinois. On ne reconnait que ce qui nous ressemble, c'est l'une des raisons (il y en a d'autres) pourquoi nous n'avons jamais vu d'OVNI

moi je reconnais les chinois des viets, et des japonais, par exemple. Mais moi je regarde.
Je te jure qu'un japonais ça n'a pas la tête d'un chinois.

en effet c'est pas pareil, les japonaises sont plus fines je trouve

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/societe/20080813.OBS7296/tshirts_antisemites__des_sanctions_exemplaires.html

adm-janine a écrit:

en effet c'est pas pareil, les japonaises sont plus fines je trouve

ils n'ont pas la même tête - j'ai travaillé 30 ans dans le Sentier, je connais la tête des asiatiques, c'est comme de confondre un belge et un espagnol.

les deux vendeuses sont chinoises, eh ben je les crois, j'imagine tres bien que des chinoiis ne sachent pas ce que juden veut dire

Autrefois, il suffisait de regarder leurs pieds pour reconnaître une chinoise d'une autre asiatique.... On parle des femmes bâchées, mais de ces femmes que l'on mutilait dès leur naissance en leur bandant les pieds pour qu'ils s'atrophient... Quelle cruauté !

Ma Josette,

Je disais cela pour répondre à Guitl, et surtout pour plaisanter.

Je ne tiens pas à polémiquer sur la maltraitance des femmes quelle qu'en soit l'origine,

Et à mon sens, il n'était pas question de religion dans ce post.

On a l'impression que tu survoles et que tu t'empresses d'écrire quelque chose derrière le dernier intervenant sans avoir lu les précédents.

jacqueline a écrit:

Autrefois, il suffisait de regarder leurs pieds pour reconnaître une chinoise d'une autre asiatique.... On parle des femmes bâchées, mais de ces femmes que l'on mutilait dès leur naissance en leur bandant les pieds pour qu'ils s'atrophient... Quelle cruauté !

seules les femmes de la haute société avaient les pieds bandées, pas les paysannes ni les femmes de basse extraction.
Josette a raison, c'est une coutume, pas une question de religion.

Je m'incline mes saintes chéries...
J'aurais du mettre " les femmes girafes "...
Les pieds pour les unes et pour les autres le cou.
ça vous va comme ça ?

à propos des pieds bandées des chinoises dont parle beaucoup Pearl Buck, si ensuite on veut les débander elles souffrent le martyr!

Justement Guitl se trompe quand elle dit que les pieds bandés étaient réservés aux femmes de la haute société. A l'origine oui mais cette pratique s'est répendue au fils des siecles dans toutes les couches de la société. C'était une question d'honneur pour les mariages. Même chez les ouïgours c'était pratiqué. Dans un documentaire on voyait une vieille femme qui faisait 5 fois par jours les ablutions dans ces conditions...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Pieds_band%C3%A9s

La coutume des pieds bandés, tout d'abord pratiquée dans certaines parties de la Chine médiévale sur des jeunes femmes, s'étendit progressivement et persista jusqu'au début du XXe siècle où elle fut interdite. Certains, comme Sigmund Freud, considèrent cette pratique comme du fétichisme, car elle était pratiquée pour des raisons esthétiques, comme en peuvent témoigner les manuels érotiques chinois qui cataloguaient toutes les manières possibles d'utiliser les pieds bandés, considérés comme des zones érogènes.

Les pieds des petites filles, en général à l’âge de six ans, mais souvent dès cinq ans, étaient enveloppés de bandages serrés de telle manière qu’ils ne pouvaient pas grandir normalement et se déformaient au fur et à mesure qu'elles grandissaient. Même à l'âge adulte, le pied restait petit et dysfonctionnel, enclin à des surinfections, paralysies, et des atrophies musculaires.

La coutume des pieds bandés a été pratiquée en Chine pendant plus de mille ans. Son origine remonterait à la fin des Tang, au Xe siècle, quand l’empereur demanda à sa jeune concubine de se bander les pieds pour exécuter la traditionnelle danse du lotus et ainsi accroître son désir. Un siècle plus tard, la coutume entre dans les mœurs et devient à la mode chez toutes les femmes de l’empire, devenant ainsi une tradition familiale qui symbolise la richesse et la distinction. En effet les femmes aux pieds bandés ne peuvent travailler qu'à des tâches domestiques simples, ce que ne peuvent se permettre les familles pauvres. Le statut d'une femme dépend en grande partie de ses talents de brodeuse exercés dans la fabrication de minuscules souliers et de jambières qu'elle coud pour sa famille et pour elle-même. Les chaussures, finement brodées, témoignent de l’importance donnée à l’esthétique féminine. Plus tard, à la fin de la dynastie Qing, on pouvait voir des femmes aux pieds bandés dans toutes les classes sociales, à l'exception des plus misérables et du groupe des Hakka chez qui les femmes assumaient une partie des travaux dévolus aux hommes dans les autres ethnies.

Longtemps enviées et admirées — le pied bandé était appelé « lotus doré » ou « lis doré » et était célébré dans de nombreux poèmes ou essais[1] —, les dernières Chinoises aux pieds bandés sont aujourd’hui regardées comme des curiosités, derniers témoins d’un millénaire d’oppression.

Le livre de Lisa See, Fleur de neige, décrit la vie des femmes et jeunes filles en Chine au XIXe siècle. On y comprend le fondement de cette coutume, dont on ressent douloureusement la grande cruauté, et l'on y voit se dérouler le destin tragique des femmes de Chine, enfermées dans l'inutilité de leur condition et dans le respect de traditions séculaires qui pourtant les oppriment.

Pour détendre un peu l'atmosphère voila le style de Tee shirt que l'on trouve à Jérusalem.

Le modeliste est culotte

jules a écrit:

Pour détendre un peu l'atmosphère voila le style de Tee shirt que l'on trouve à Jérusalem.

je l'ai acheté en sweat -

j'adore cet humour