adm-janine Admin
Nombre de messages : 147666 Age : 77 Localisation : paname Date d'inscription : 19/11/2006
| Sujet: Re: Nicolas Bedos, etc..... Dim 14 Nov - 14:08 | |
| je trouve les propos du fils bedos à vomir! c'est pas la peine que je revienne là dessus vous avez tout dit, en tout cas je suis consciente qu'il y a dans le pays un ras le bol par rapport à la chose juive, à la shoah etc...les gens, pas les juifs bien sur, en ont ras le bol de cette histoire" qui fait couler des larmes et qui absout les juifs de tous les crimes" je ne sais pas où j'ai lu cette pfrase mais elle a le merite d'etre claire et c'est bien pour ça qu'on fait l'amalgame gaza varsovie etc ....ce genre d'amalgame qsui me donne envie de tuer, bien que je sois une non violente | |
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guitl
Nombre de messages : 57558 Localisation : PARIS BIEN ENTENDU Date d'inscription : 20/11/2006
| Sujet: Re: Nicolas Bedos, etc..... Dim 14 Nov - 16:26 | |
| - adm-janine a écrit:
- je trouve les propos du fils bedos à vomir!
c'est pas la peine que je revienne là dessus vous avez tout dit, en tout cas je suis consciente qu'il y a dans le pays un ras le bol par rapport à la chose juive, à la shoah etc...les gens, pas les juifs bien sur, en ont ras le bol de cette histoire" qui fait couler des larmes et qui absout les juifs de tous les crimes" je ne sais pas où j'ai lu cette pfrase mais elle a le merite d'etre claire et c'est bien pour ça qu'on fait l'amalgame gaza varsovie etc ....ce genre d'amalgame qsui me donne envie de tuer, bien que je sois une non violente en fait, il faudrait chercher dans le passé des gens qui haissent tant que l'on parle de la Shoah - il faut avouer que nous sommes des empêcheurs de rendre leur honneur à Papon, à Pétain. Je croyais que seule la droite était partisane du silence sur les crimes de vichy or la gauche aussi. Mais nombreux sont les personnes de gauche qui ont viré de bord pendant la guerre 40/44 et qui ont viré collabo. Lors de la Seconde Guerre mondiale, Robert Jospin réside en zone occupée. Il est dans l'étroite mouvance de la « Ligue de la pensée française », une organisation néopacifiste présidée par René Chateau, qui fonctionne avec l'autorisation des services allemands. Cette « ligue » ne défend pas une idéologie fasciste, mais avec la participation de dirigeants du « Rassemblement national populaire » de Marcel Déat, elle soutient sans trop d'ambiguïté la politique de Pierre Laval, qui a toujours pris soin de se ménager quelques appuis parmi les anciens socialistes pacifistes dans ses combats contre l'amiral Darlan et contre l'entourage maurrassien du Maréchal Pétain. En 1942, il subit une courte arrestation pour avoir aidé des résistants. En avril 1944, les stratèges de l'ambassade d'Allemagne à Paris décident de lancer une nouvelle publication, Germinal, destinée à fédérer certains « collaborateurs de gauche ». Financé par le trust allemand Hibberlen, qui édite déjà La France au travail, L'Œuvre, et les Nouveaux Temps. Le premier numéro de Germinal apparaît dans les kiosques le 28 avril1944. Sous son titre, ce bandeau : « Hebdomadaire de la pensée socialiste française ». Tous les rédacteurs sollicités ou presque sont des enseignants et d'anciens membres de la SFIO passés par le pacifisme. Parmi eux : Robert Jospin, Claude Jamet, ancien secrétaire fédéral de la SFIO et ancien professeur, Paul Rives, député socialiste de l'Allier (1932-1942), et le plus connu, Ludovic Zoretti, universitaire, ancien responsable de la CGT et de la SFIO, où il fut l'adversaire acharné de Léon Blum, « le belliciste ». Germinal ne comptera que quinze numéros. Très vite, Robert Jospin s'en éloigne en expliquant dans une lettre à son rédacteur en chef Claude Jamet : « J'ai essayé tout ce dimanche de travailler au papier dont nous avions parlé. Je n'ai pas pu. Je ne crois pas la chose convenable, compte tenu de ce qu'ont été nos erreurs et peut-être nos crimes ». À Meudon, où réside sa famille, le 27 mai1944, Robert Jospin accepte d'être nommé conseiller municipal par le préfet lavaliste de Seine-et-Oise. Il ne participera qu'à deux réunions de l'équipe municipale, à l'ordre du jour parfaitement anodin, les 29 juin et 12 août 1944. Le 24 août, Meudon est libérée par les FFI, et le maire et ses conseillers sont « épurés » et remplacés par des résistants du comité local de libération. wikipedia combien étaient-ils dans le même cas? | |
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