L’émission « Complément d’enquête » intitulée « Juifs de France : ont-ils raison d'avoir peur ? » m’a interviewé à plusieurs reprises, mais n’a pas diffusé mo...n interview. Elle a diffusé l'interview de François Pupponi, maire de Sarcelles, qui avançait des explications socio-économiques à l'antisémitisme… C’est à l’Etat, et à lui seul, d’assurer l’ordre public, et notamment la protection des établissements Juifs. Voici quelques années, deux balles ont été tirées contre une épicerie casher à Sarcelles. Quelques heures après, le policier , venu à ma demande pour constater les faits, m’a téléphoné pour me dire : « Tout a été réparé » à la demande des autorités municipales qui veulent préserver l’image de leur ville... On est passé du palestinisme à l'islamisme, et maintenant au djihadisme. Il ne faut pas empêcher les djihadistes français de quitter la France, mais il faut les empêcher de rentrer en France », a déclaré Sammy Ghozlan, président du BNVCA (Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme), le 30 septembre 2014, lors d'une réunion publique à la Mairie du XVIIe arrondissement de Paris sur l'antisémitisme en France.
Ce commissaire de police honoraire s’est éloigné du SPCJ (Service de protection de la communauté juive) dont il ne perçoit pas clairement les objectifs.
Il a ajouté n'être jamais invité sur RCJ car on le trouve « alarmiste ».
Il a déploré l’absence générale dans les médias de représentants de l’ambassade d’Israël en France lors de l’opération israélienne défensive Bordure protectrice, et a recensé 250 signalements d’agressions antisémites dans les trois premières semaines de cette opération militaire.
J'ai souligné l'importance d'un dialogue avec les musulmans en abordant les sujets tabous : antisémitisme et antijudaïsme islamiques, dhimmitude, etc.
J'ai insisté sur l'insuffisance du combat communautaire dans l'affaire al-Dura : la "rue islamique" ne cesse d'alléguer des "meurtres d'enfants par les Israéliens".
J'ai évoqué aussi l'antisémitisme d'Etat en France, notamment dans l'audiovisuel et les radios publiques.
BNVCA