Pour les médecins, ce n’était pas vraiment un choix. Shaludi était dans un état critique, il avait besoin de soins médicaux urgents, quels que soient les crimes qu’il avait commis.
Quelles que soient leurs opinions sur ce qui se passe à l’extérieur de l’hôpital, une fois qu’ils sont admis dans l’enceinte de l’hôpital, les médecins israéliens, qui ont prêté serment de ne pas mettre en danger les vies et de les sauver, expliquent qu’ils arrivent à mettre de côté leurs émotions et soignent chaque patient.
http://fr.timesofisrael.com/quand-le-terroriste-devient-le-patient-dans-les-hopitaux-israeliens/
C'est dans de pareils cas qu'on se sent fier de l'éthique juive.