sur le blog de Pierre Assouline
Celui qui n’était pas Dreyfus
En jugeant que les méchants de l’affaire Dreyfus étaient à ses yeux plus intéressants que la victime, Oscar Wilde ne se doutait pas qu’un siècle après il donnerait l’idée au dramaturge israélien Yehoshua Sobol d’écrire une pièce intitulée Ani lo Dreyfus (Je ne suis pas Dreyfus) dans laquelle le véritable traître Ferdinand Esterhazy se justifie… en hébreu, naturellement puisque la pièce se joue actuellement au théâtre Cameri de Tel Aviv. L’auteur et le metteur en scène, qui en ont fait une pièce sur la haine à travers le choix de ce paradigme du mal absolu, transportent l’action à Hyde park dans les années 20 où un pauvre hère la fin de sa vie interpelle les passants.
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23 octobre 2007 Publié Théâtre | Modifier | Lien permanent ');
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