Miguel Garroté, journaliste
Le Pakistan continue de faire la « une » dans les médias. « On » s’inquiète notamment pour les libertés politiques dans ce pays. La répression des libertés politiques, est pourtant infiniment plus grave, à Cuba avec les frères Castro ; au Vénézuéla avec le Caudillo Chavez ; en Corée du Nord avec le taré stalinien ; en Iran avec le nabot génocidaire ; en Syrie avec le moustachu alaouite ; en Russie avec l’ex colonel du KGB ; en Chine avec les octogénaires communistes ; et presque personne n’y trouve à redire.
Or, il se trouve que dans le cas du Pakistan, nous sommes confrontés, à une situation très particulière. En effet, le Pakistan, avec ses 180 millions de musulmans, détient l’arme nucléaire ; et ce même Pakistan, risque de basculer, dans l’islam extrémiste, style Taliban, Ahmadinejad ou Al-Qaïda. La question essentielle, pour nous, n’est donc pas d’aimer ou de ne pas aimer, le Président Musharraf et sa politique. A cet égard, les événements pakistanais, de ces deux derniers jours – et la façon dont les médias les relatent – n’ont rien de rassurant.
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