des instituts religieux allemands sur la sellette

http://www.liberation.fr/actualite/monde/226232.FR.php

Toutes les écoles religieuses à l´époque etaient des enfers de ce genre. Et même en France. Combien de jeunes de famille catholique n´ont pas entendu de leurs parents "je vais te mettre chez les pères si tu ne travailles pas mieux à l´école", ca voulait bien dre ce que ca voulait dire. La réputation des écoles religieuses était comme ca, c était dans les moeurs du temps.

Avec cette mode de nos jours de vouloir justice pour tout et n´importe quoi, on mettrait même ses parents au tribunal à titre posthusme pour quelque torgnoles de trop afin d´obtenir réparation.

Je vais peut être essayer, si ca rapporte gros .

c'est encore mieux la prison....

ah lala le martinet!!!!!!!!!!!!!!!!!il me faisait peur mais papa ne l'a jamais utilisé, il le montrait! comble du sadisme

Ma mère prenait le manche, les lanières c´était trop souple disait elle, ca n´avait pas assez d´effets. Il faut dire que quand j´étais petit, j´étais un sacré numéro.

Mais bon le plus dissuasif pour moi était ma Grand Mère me montrant une une tapette à matelas. Elle n´a jamais eu à s´en servir d´ailleurs. Me la montrer seulement était suffisant.

L'article suggère des 'mauvais traitements' mais n'en nomme aucun.
Courrier filtré ? c'est normal. J'ai été pensionnaire dans un lycée laïque. Ce sont nos parents qui indiquaient quels correspondants pouvaient nous écrire. On ne sortait pas sans autorisation, etc...
C'était un lieu bien plaisant pourtant.

Il y a beaucoup de procès imbéciles. D'autres odieux, oui, ceux aux parents sans raison gravissime. Et encore, il faut observer comme les jeunes filles qui ont subi un viol dans leur famille même hésitent. Souvent elles n'interviennent que pour protéger une sœur plus jeune. Avec courage, avec pudeur.
Celui-là ? Je l'ignore. Mais je me méfie. Quant au titre raccoleur de l'article, il est à la hauteur du journal qui le publie.

c'est ça la classe, rien que suggerer

Mon fils, au lycee, est parti etudier dans un internat, selon sa propre volonte. Nous etions sideres, ma femme et moi, mais nous avons prefere le laisser faire. Il y a passe 4 ans, probablement les 4 plus belles annees de sa vie. Cela lui a permis ensuite de faire son service militaire de la facon la plus aisee possible pour lui, dans une unite combattante, et d'etre maintenant un etudiant brillant et un homme equilibre.

En tout cas, il n'a jamais ete, a mon avis, victime de quelconques sevices.

Il faut être honnête, c´est vrai qu´autrefois tout était plus sevère, même moi né dans le début des années 60, je n´ai rien connu par rapport á la sevérité des années 50 et 60 des parents et dans les écoles publiques ou privées. Mais de là à demander des réparations aujourd´hui, il faut franchement être nuls.

Sévérité ? Discipline et belle exigence. Et des enfants sont parfaitement capables de le reconnaître. L'injustice ne passait pas. Mais c'est tout autre chose. Et là je donnais mon point de vue. Sinon... je me tenais bien coite.

Moi j'ai connu la severite des ecoles dans les annees 50! Les coups de regles sur les doigts, la regle d'acier placee sous les genoux au coin, ou pire le cercle trace sur le tableau 50 cms en dessous de ma taille et ou je devais y coller mon nez pendant une demi-heure! C'etait l'epoque ou le sadisme des instit republicains se dechainait. On m'a attache la main gauche dans le dos car j'etais gaucher pour que j'apprenne a ecrire de la main droite. Je suis toujours gaucher, j'avais la tete dure!!! Jusqu'au jour ou je suis revenu de l'ecole avec mon nez ensanglante d'une gifle pedagogique. Mon pere, qui apres avoir subi les affres de la Shoah, envoya le maitre a l'hosto. Quelques mois apres, une loi interdisait les sevices a l'ecole, mais il fut difficile pour ces enseignants de se defaire de leurs mauvaises habitudes.

Par contre, je regrette qu'on ne se leve plus en classe pour saluer le professeur, ou qu'on n'entre plus en classe deux par deux.

Je n'ai pas connu ces mœurs, mais des institutrices qui insistaient pour qu'on laisse les gauchers tranquiles. Persuadées qu'il était mauvais pour les enfants de contrarier à ce point leur façon d'écrire. Avaient-elles déjà des informations, ou simplement de la jugeotte ? Je ne sais pas.
Par contre elles combattaient mon goût des expériences : punie à chaque fois que je faisait tremper des pâquerettes, puis des fleurs colorées dans les encriers. Pour voir comment l'encre violette ou verte remplaçait la sève. Il est vrai que l'encre devenait bizarre, mes cahiers aussi.

PS : Cosmos tu crois que je pourrais faire des procés à leur descendance pour vocation scientifique durement réprimée ?

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