Ce 'journal' est à l'origine d'une rumeur. Voilà qui situe ses exigences et son respect de la déontologie.
Si ce texto avait existé, le publier serait un délit : viol de correspondance privée.
Rumeur reprise ici et là avec la plus parfaite impudeur. Sans que nul ne s'interroge. Presse du on-dit, qui ose s'indigner. Misogyne, calomnieuse, méprisant les lois.
Pouah !
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