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 Bien basse B...... !

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noach

noach


Nombre de messages : 5493
Localisation : France profonde
Date d'inscription : 20/11/2006

Bien basse B...... ! Empty
MessageSujet: Bien basse B...... !   Bien basse B...... ! Icon_minitimeMar 12 Fév - 21:30

Esther B...., ci-devant grande intellectuelle devant l’Eternel, avait déjà tenté de discréditer la grande Bat Y’éor.

Ce fut pour nous l’occasion de dire tout le bien que nous pensions de cette courtisane (lire).

Nous avions remarqué et souligné combien son attaque était décidément bien basse, indigne d’une chercheuse, comme elle aime à se présenter.

Chercheuse ou écrivain, c’est selon le public auquel elle s’adresse. En présence de Jean-Pierre Elkabbach, elle ne préfère rien.

Elle laisse le journaliste – écrivain lui aussi – lui distribuer tous les qualificatifs élogieux possibles, transie de reconnaissance pour l’immense honneur qu’il lui fait de l’inviter dans son émission.

Car Esther B.... aime briller. Sa raison de vivre, ce sont les sunlights, sans lesquels elle s’étiole, se fane et feint de geindre misérablement.

Certaines ont la fâcheuse habitude d’attirer les caméras par leurs propos saignants, leur intelligence, leurs prises de positions ou leurs plastiques irréprochables. Rien de tout cela pour Esther B..... qui prétend tout de même être « La spécialiste de l'histoire des Juifs et du judaïsme en Europe et en terre d'Islam à l'époque moderne ». Respirez !

C’est à ce titre qu’elle revendique d’être invitée un peu partout sur les plateaux télé.

Mais, dans le milieu relativement fermé des animateurs et journalistes, il se murmure qu’elle est si infatuée de sa personne qu’à la moindre idée de l’interviewer, chacun se signe, touche du bois et avale immédiatement deux barrettes d’anxiolytiques, celles qui sont « dans la petite boîte ronde en plastique vert ® ».

C’est donc sur France Culture qu’elle sévit toute les semaines. C’est incroyable. Même à la radio, on la voit se rengorgeant à la moindre phrase qu’elle voudrait définitive.

Quelques journaux sur le Net et dans la presse écrite accueillent ses piges ou ses coups de gueule.

Le dernier en date concerne Ayaan Hirsi Ali. Et si l’on veut se faire une idée de ce que peut être la bassesse intellectuelle, il faut lire cet article. (lire également les remarques et réponses sur Rue 89)

Elle y dénonce le show médiatique autour de l’ex-députée hollandaise, celle qui risque sa vie tous les jours pour avoir osé défier l’islamisme.

Le titre est en soi un chef d’œuvre « Ayaan Hirsi Ali, sainte et martyre moderne de l’Occident ».

Esther B.... n’aime pas les honneurs quand on les rend à une autre qu’elle. Une soirée pour Hirsi Ali lui semble l’idée la plus incongrue qui soit. Charlie Hebdo, BHL, tous sont épinglés !

Elle a raison, Esther ! Une femme qui se bat pour rester en vie, voilà qui mérite le bûcher, à tout le moins.

Sous sa plume, Théo Van Gogh a droit à l’épithète « douteux », Caroline Fourest est ironiquement appelée pour la circonstance notre « Voltaire féminin local », comparée à Ayaan qui serait, selon l'incomparable spécialiste, « celle que l’on qualifie sans doute un peu vite de Voltaire noire ».

Ah oui, parce qu’il faut bien dire que notre B.... à nous ne dispose en tout et pour tout que d’un seul neurone qui tourne à fond la gamelle à l’intérieur de sa boîte crânienne, ce qui peut donner l’impression qu’elle en a plusieurs. Mais ce n’est qu’une impression.

Dés que le neurone trouve un trait d’esprit qui lui semble acceptable, il se met à le refourguer deux ou trois fois dans le même article. Donc Hirsi Ali est la Voltaire noire, Fourest, notre Voltaire féminin local.

Bien évidemment, il ne viendrait pas à l’idée d’Esther B.... que ces deux femmes n’ont jamais réclamé ce titre ni même envisagé une seule seconde de se l’attribuer.

Mais, comme on vient de vous le dire, le neurone de B..... est déjà bien occupé. Donc, il ne peut rien lui venir à l’idée. Surchargé, le neurone, qu’il est ! Epuisé !

Pour un peu, il se mettrait en grève si ce n’était déjà si couramment pratiqué. Les mauvaises langues disent que personne ne remarquerait la différence. Mais ce sont des mauvaises langues.

Peut-être pas finalement !

Car il faut vraiment avoir le cœur bien accroché pour supporter les rapprochements douteux de celle qui reçut en 2007 le Prix Françoise Seligman, du nom de la présidente d’honneur de la Ligue des Droits de l’Homme.

Françoise Seligman est cette personne qui se rendit célèbre (il ne faut rien exagérer quand même), elle se rendit un peu célèbre… (non, c’est encore trop), elle se rendit …coupable d’avoir prononcé le 2 décembre 2003 sur France Culture, là où officie B.... « Bien sûr, il y a des actes antisémites [en France, ndlr Primo], mais les Juifs qui soutiennent la politique de Sharon doivent savoir qu'il y a un prix à payer pour ce support... ». (lire sur Primo)

Foin de digressions sur les amitiés singulières de ce petit monde de la radio et de l’anti-israélisme primaire réunis !

Esther B...., donc, s’en prend à Ayaan Hirsi Ali (et aux organisateurs de la soirée) parce qu’elle a reçu au cours de la soirée le « Prix Simone de Beauvoir » des mains de Claude Lanzman.

Pour elle, mélanger la « Shoah », Simone de Beauvoir et Ayaan hirsi Ali serait un crime contre la pensée, une assimilation impardonnable, puisqu’allusion directe au conflit israélo-palestinien.

A cet instant-là, le neurone d’Esther B.... s’est soudain bloqué dans son tourbillon, victime d’une entorse, consécutive à un exercice intensif sans échauffement préparatoire.

Vouloir placer dans une soirée consacrée à la liberté de parole et à une ex-députée néerlandaise menacée de mort ce conflit qui se situe à des milliers de kilomètres tient de la prouesse technique. Les spécialistes apprécieront !

Comme les citoyens isaréliens des environs de Sdérot apprécieront la phrase : "La symbolique, on le voit, est forte: "Shoah", Simone de Beauvoir, lutte contre le radicalisme islamique et, derrière tout cela, en filigrane, le conflit israélo-palestinien et le spectre du Hamas, dont on redoute, pas tout à fait à tort, le pire".

"Pas tout à fait à tort" ? l’expression est belle et témoigne d’un art de l’euphémisme poussé à l'extrême.

Bien évidemment, personne n’est dupe des a-prioris d’Esther Benbassa dans cet article.

Mais là où la spécialiste de l’histoire etc…etc… dépasse les bornes, c’est dans sa réponse à la réaction de Pierre Haski, qui lui fait part de sa désapprobation sur Rue 89 :

"Quant à la liberté de parole - exercice fort périlleux comme vous le savez - subissant moi-même la censure de ma propre "communauté", je ne peux que me placer aux côtés d'Ayaan Hirsi Ali".

Esther B.... ose tout. Michel Audiard a eu des paroles définitives sur ceux qui osent tout, affirmant que c’est même à cela qu’on les reconnait*.

Elle ose comparer son sort à celui d’Ayaan Hirsi Ali.

Elle qui n’a jamais pris d’autre risque que celui de se fouler la cheville dans les escaliers de la Sorbonne prétend mêler son sort à celui d’une femme qui vit, comme Robert Redeker, Salman Rushdie et Taslima Nasreen, dans la terreur qu’un fou de Dieu vienne l’égorger au coin de la rue, ce qui est advenu à son ami Théo Van Gogh.

Serait-il possible de qualifier cela de manque de la plus élémentaire pudeur ?

Quel rapport peut-il exister entre une prétendue censure de Benbassa dans la communauté juive parisienne et les menaces de mort contre une femme ? Faut-il à ce point être aveuglée sur sa soi-disant importance pour comparer les deux destins ?

Elle poursuit en disant :"mais ceci à condition d'éviter les récupérations médiatico-politiques de ce genre".

Si un danger ne la guette pas, c'est bien celui de la récupération médiatico-politique. Esther B.... ne s’est pas encore aperçue que personne ne veut d'elle, vraiment personne.

Peut-être que certaines personnalités ont participé à cette soirée de la rue d’Ulm avec des idées derrière la tête. Et alors ?

Il sera toujours permis de préférer ceux qui prennent des risques pour défendre leurs idéaux plutôt que les aigries qui enfoncent des portes ouvertes.

Mais il faut interdire à tout jamais à Esther B.... de se tenir aux côtés de Ayaan Hirsi Ali dont elle a tenté de salir l'image de la manière la plus éhontée. Ces deux femmes n'ont, à l'évidence, rien en commun.

Pierre Lefebvre © Primo, 11 février 2008.

* Célèbre réplique de Lino Ventura dans le film « Les tontons flingueurs ». Mais, en une période de "politiquement correct" dans laquelle le ton pamphlétaire semble désormais interdit sous peine d’être traduit en justice, nous laissons aux internautes le soin de visionner ce film mythique. Nous précisons à la personne visée dans cet article que l’auteur de cette phrase n’est malheureusement plus. Cela lui évitera d’entamer des poursuites, à défaut de pouvoir argumenter sereinement.

source : Primo-Europe

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