Par Claude Bensoussan pour Guysen International News
C’est tout ce que me commandent de vous dire, vos dernières déclarations. Celles que vous avez faites lors de votre nième passage dans la région.
Dans les territoires encore occupés par les derniers envahisseurs venus d’Irak, de Syrie ou du Liban il y a une centaine d’années. Territoires dits palestiniens.
Ce fut un jour, au lendemain de l’élection de François Mitterrand, la réponse de Georges Marchais secrétaire du parti communiste, à Jean Pierre Elkabbach
Il m’est un devoir d’ingérence de m’ingérer.
Un devoir d’ingérence dans le langage ministériel français, celui des Affaires Etrangères, que certains n’ont pas hésité à qualifier d’ « un siècle de trahison ».
Je ne retiendrai que deux phrases.
L’une appelant Israël à faire « encore des sacrifices ».
Encore. Retenez bien le « encore »…
L’autre, perfide, sournoise, d’acier plutôt que de bois. Vous avez appelez à l’arrêt des tirs de Qassams, non pas pour les dégâts occasionnés aux habitants de Sdérot, mais bien pour les « réactions brutales » qu’elles suscitent de la part d’Israël.
Alors monsieur Kouchner, il nous est un devoir d’ingérence de vous dire de vous taire.
Nous aurions pu vous répondre à la façon d’un Nicolas Sarkozy, s’adressant à un badaud qui refusait de lui tendre la main au salon de l’Agriculture, mais la décence, et somme toute le respect que nous vous devons encore, sachant l’amitié qui vous lie à nous, éloigneront de nos propos tout langage malveillant.
Ne venez pas nous dire que ce sont des « phrases sorties de leur contexte », que ce n’est pas cela que vous avez voulu insinuer, que sais-je encore, de ces circonvolutions verbales d’homme politique pris en flagrant délit de c…..ies !
Je ne vous croirais pas. Et les miens non plus.
Encore, avez-vous dit…
Encore des sacrifices.
Voilà un mot que le peuple Juif ne veut plus entendre. Il me semble que vous ne l’entendez pas de cette oreille.
Cela fait plus de deux mille ans que nous faisons des sacrifices monsieur Kouchner !
la suite :
Houmous