Un leader ne peut se maintenir, dans le monde arabe, que s'il se montre en parfait accord avec les fanatiques. La moindre tentative d'ouverture met sa vie en danger. En témoigne l'assassinat de Sadate, et les multiples tentatives contre le roi Hussein.
En 1957, déjà, Nasser écrivait qu'il n'était pas possible de contrarier le fanatisme (il employait le mot).
et Arafat, face à Barak, et mis en position de signer un accord qui lui donnait tout ce qu'il voulait, a fini par refuser, en disant "Si je signe, je suis mort".