la soirée en l'honneur du Président d'Israël

je vous raconterai demain la soirée en l'honneur du Président Perès.
C'était très bien. Sauf que la LDJ est venu nous saluer.

on t'attend avec impatience

D'abord, l'ambiance ; survoltée. A un moment sur un écran on voit des machins israéliens, et sur le côté, descend le drapeau bleu et blanc. Délire dans la salle, on se serait cru en 1948 à la fondation de l'état ; ils n'en ont pas encore l'habitude?
Suite au drapeau d'Israel, est descendu le drapeau tricolore. Alors ça été du délire, "standing ovation" c'est bien faible. C'était au moins la Libération de Paris par Leclerc au niveau intensité. Des petits chanteurs pour les hymnes nationaux, braillés par une foule en délire.
Serge Moatti a présenté la soirée et il a prévenu, "je suis tunisien". Le voisin de ma frangine a dit "moi aussi". Comme d'habitude tout le monde se parle, tout le monde est debout, ça va ça vient dans les travées.
Il y avait Delanoé, Sarit Haddad, Ishtar, Olivier Stirn, Stephan Freiss, roger Hanin, JM CAVADA, Lellouche; Eric Raoult, Régine, et j'en oublie bien que j'ai commencé à noter ; mais nos amis sont bien nombreux, dieu merci.

La soirée était gratuite pour le bon peuple, la salle louée par "des donateurs". Et c'est cher.
Perès, c'est le type qui a "inventé" l'aviation israélienne - on l'a vu sur grand écran, délire dans la salle ; délire quand apparait Ben Gourion. Délire quand apparait Sharon.
Bon, vous l'avez compris, une salle complètement en délire, parce que le pays qu'elle aime est ami avec le pays de son coeur ; le rappel de tout ce que la France a fait pour Israël, extraordinaire.
Une belle soirée, je suis prête à recommencer.

bien entendu, Josette.

Une video sur la soiree:
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alors Guitl il y avait Enrico et tu me l'avais pas dis

lu sur le site du CRIF


Dans une intervention très émouvante, Shimon Peres a retracé son parcours et insisté sur l’apport essentiel, voire vital, à l’époque des premières années de l’Etat, de la France, pour que vive et se développe le jeune Etat d’Israël en butte à l’hostilité armée de 40 millions d’Arabes.
Très applaudie, la partie musicale a permis d’apprécier tour à tour Sarit Haddad qui a interprété un poème écrit par le président Peres, le groupe Adama avec les jeunes de l’école Moadon, interprétant « Chalom le koulam » dans une sarabande de drapeaux israéliens et français, Orlika avec son traditionnel « Chalom-Salam », Daniel Lévy, Enrico Macias, Hugues Auffray et son « Petit Simon », un groupe folklorique de jeunes et Ishtar accompagnée au piano par Roland. Des chants populaires, de « Jérusalem en or » à « Chabeh'i » ont clôturé cette belle soirée dont Francis Kalifat, le trésorier du CRIF, aura été le maître d’œuvre particulièrement efficace.
On ne saurait citer de manière exhaustive toutes les personnalités présentes dans la salle. On remarquait notamment le maire de Paris, Bertrand Delanoë, le nouvel élu de Neuilly, Jean Sarkozy, Nicole Guedj, Eric Raoult et Olivier Stirn, anciens ministres, Danièle Hoffman-Rispal et Pierre Lelouche, députés de Paris, Delphine Bürkli, candidate à la mairie du 9e arrondissement de Paris, et de nombreux élus.
Vers minuit, après une dernière Hatikva, les quatre mille spectateurs se sont séparés, heureux de ces heures de solidarité et de symbiose parfaite de la communauté juive de France avec le peuple d’Israël.


Un album photo sera mis en ligne lundi 17 mars.

il faut s'inscrire, ça marche en français?

j'ai entendu le rav sitruk vendredi à la radio, il a laissé entendre avec humour que tant de personnalités politiques presentes, on croirait qu'on est en periode electorale!!!
guitl tu as vu comme il est drole, c'est pour ça que les gens l'aiment, il est proche d'eux, ce qui ne veut pas dire qu'il doive rempiler une troisoieme fois, laisser la place aux autres

Dans ses années de déclin, quand Chirak baissait dans les sondages, il allait se refaire une santé à l'étranger. Le rabbin a raison de parler d'ambiance électorale.