guitl
Nombre de messages : 57558 Localisation : PARIS BIEN ENTENDU Date d'inscription : 20/11/2006
| Sujet: Algérie - Atteintes aux droits de l’homme Ven 18 Avr - 15:55 | |
| Si on s'occupait un peu de l'algérie, des "lois de la famille" en algérie, et du reste, toujours en Algérie? la Palestine en souffrirait certainement. On devrait faire disparaitre les palestiniens, ni vu ni connu, qu'en pensez vous? - Citation :
- L’Algérie se défend
jeudi 17 avril 2008.
L’Algérie a refusé la demande du groupe de travail de l’évaluation périodique universelle du Conseil des Nations unies de revoir certaines dispositions de la charte pour la paix et la réconciliation nationale. Avant la publication du rapport final, la délégation algérienne a justifié que le texte de la charte est une « plateforme non négociable », approuvée par référendum. La question des « disparitions forcées » a été au cœur de cette demande de révision que l’Algérie place comme une exigence « politiquement irrecevable et sociologiquement inadaptée ».
Autre refus algérien exprimé à Genève, celui relatif à la révision de la disposition consignée dans le code de la famille sur le droit à l’héritage. L’Algérie a légitimé sa récusation par le fait que cette disposition de la loi émane de l’application fidèle de la loi coranique.
Le troisième rejet affiché par la partie algérienne a concerné le statut des cultes non musulmans, précisant que « ces cultes bénéficient des mêmes droits appliqués à l’Islam. Ces cultes sont tolérés, tant qu’ils obéissent aux lois de la République, dans un contexte de légalité et de transparence dans leur exercice ».
Si la France a demandé à l’Algérie de ratifier la convention de l’ONU sur les disparitions forcées, l’Allemagne et la Suède ont sollicité des mesures pour lutter contre les cas de torture. La délégation mexicaine a, quant à elle, demandé à l’Algérie d’analyser l’impact de la situation d’état d’urgence sur l’exercice des droits fondamentaux. Nadjia Bouaricha — El Watan | |
|