«Dans les années 90, nous n'étions pas encore prêts et il était trop tôt pour envisager de bâtir un monument unique pour l'ensemble des victimes du nazisme», expliquait lundi le lobbyiste homo Günter Dworek, à la veille de l'inauguration du Mémorial homo (lire Quotidien du 28 mai), pour expliquer pourquoi chaque groupe de victimes dispose de son monument séparé à Berlin.
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