Il a conseillé plusieurs premiers ministres, chefs d’état-major, etc., sans jamais être écouté. La théorie du "pas de partenaire", poussée par Barak, Sharon, Mofaz et d’autres, a prévalu avec les conséquences désastreuses qu’on sait. Retour sur une période cruciale (années Oslo, Camp David, 2e Intifada, opération Rempart, initiative de paix arabe, montée du Hamas, etc.)
Comme disait un vieille ami indien ça "comanche mal" cette interwiev d' Haaretz toujours très terre a terre.
L'analyse bizarrement porte sur l'après 1967, C’est l’extrémisme qui a prévalu, oui mais de quel coté, n'est ce pas les Palestiniens qui avaient fait du terrorisme, de la haine, leur armes préférées.
La liste est longue des attentats anti israéliens avant 1967, pas un mot sur le sujet.
J'aime bien le terme pompeux "du camp palestinien pragmatique", des mots, a t'on des preuves, des actions en ce sens sur ce pragmatisme, ou est ce pour enfoncer un peu plus notre pays dans la détestation de soi.
Cela a pavé la route à une large légitimation des attentats suicides, y compris de la part du Fatah, légitimation qui n’existait pas auparavant.
De pragmatique nous glissons vers la légitimation des attentats, et l'auteur trouve cela conforme à la théorie du pragmatisme.
Ne pas convaincre quand on est officier du Shin Bet, spécialiste de la société palestinienne, à ce titre, pendant 20 ans, me laisse perplexe, ou alors fallait il démissionner avant.