Chez les peuples burnés, c'est au contraire sous la menace que la prolificité se développe. Les Londoniens, sous les bombes du Blitz, n'ont pas eu une baisse de natalité. Bien au contraire, avec la liberté de moeurs favorisée par la présence de troupes étrangères, tchèques, polonais, hollandais, belges, français, et ensuite, massivement, américains.
Les bombes et les V.1 pouvaient bien tomber, ça ne coupait pas la chique à la jeunesse du monde libre.
Quant aux Allemands, tant bombardés, pourtant, ils ont fini la guerre, malgré leurs pertes énormes, avec une population EN HAUSSE de 7% par rapport à celle de 1939.