la droite, la gauche, l'extrême-gauche.

Nicolas Sarkozy et la ministre de l'Economie Christine Lagarde. (Reuters)
D'après le quotidien Les Echos, le chef de l'Etat va annoncer jeudi un nouveau prélèvement de 1% sur les revenus du patrimoine et de placement.

http://www.liberation.fr/actualite/politiques/347779.FR.php

c'est pour Martin Hirsch, pour financer son projet de solidarité active ; Martin Hirsch je le rappelle était très copain avec l'abbé Pierre, ses idées découlent directement de la philosophie de l'abbé.
Solidarité active, c'est à dire on vous aide, mais vous bossez.

en fait c'est une philosophie plus protestante que catholique ; les cathos adorent faire la charité, les protestants donnent mais il faut donner en retour dans la mesure du possible. On vous paiera pour tondre une pelouse, pas pour rester assis à faire la manche.

moi j'attent le RCSA avec impatience,bosser c bien,parce-que le rmi tu à juste le sentiment de faire la manche, mais perdre des avantages sociaux, et perdre plus , que ce que tu touche en alloc, c pas encourageant pour avoir envie d'y retourné.
http://www.premier-ministre.gouv.fr/information/questions_reponses_484/est_revenu_solidarite_active_56861.html

Citation :

Besancenot :
« Les quatre piliers des acquis sociaux : le Code du travail, les congès payés, le service public, la protection sociale, sont en train d'être flingués » par le gouvernement, a-t-il dénoncé, il appelle d'autre part à une manifestation unitaire de la gauche contre la présence militaire française en Afghanistan.

Citation :

C'est sur ce terrain qu'Olivier Besancenot entend mener l'offensive : "Les licenciements reprennent de plus belle, les salaires sont bloqués, la privatisation de La Poste est en marche... La rentrée ne sera pas un long fleuve tranquille pour Sarkozy", assène-t-il. Lors de son meeting à Port-Leucate, samedi 23 août, l'ancien candidat à la présidentielle devait mettre l'accent sur les conséquences de la crise qui s'installe : "Qui va payer le prix de la récession ? Les jeunes salariés, les chômeurs, les retraités, les plus faibles", explique-t-il. Un discours radical qui séduit de plus en plus.
http://www.lemonde.fr/politique/article/2008/08/23/olivier-besancenot-intensifie-son-offensive-sociale_1087100_823448.html

La privatisation de la Poste, parlons en, c'est Bruxelles ; Bruxelles exige que la concurrence joue à plein en Europe. Le facteur veut en fait que la France manifeste son soutien parce que Monsieur ne veut pas perdre ses acquis. C'est vraiment désolant.

L'Afghanistan,, je suis d'accord ; aucune raison qu'on envoie nos petits gars se faire descendre pour la liberté dans le monde, laissons Ben Laden avoir une base en Afghanistan, laissons le nous refaire un 11 septembre. Et puis dans la foulée, plus d'armée, parce que nous n'avons pas à payer des gus pour qu'ils apprennent seulement à crapahuter et à jouer au foot.

La récession est générale, même l'Allemagne a reculé, pourtant ce n'est pas dans ses habitudes ; eux n'ont pas de syndicats seulement chargés de ruiner leur pays ; d'abord ils discutent, après ils font grève, chez nous, c'est le contraire.La chienlit comme d'habitude, héritage des communistes, qui voulaient peut être prendre le pouvoir en France.

La protection sociale, elle est en ruine, on rogne sur tout. Et alors? et si pour commencer les citoyens avaient été plus disciplinés? les jours de congés maladies pour cause de "pont"? un rhume=congé maladie? dans ma boite, un gus s'arrêtait pour une simple allergie nasale - il préférait renifler chez lui qu'au boulot.
Maintenant nous en payons les conséquences, c'est tant pis pour ceux qui n'en profitaient pas outre mesure.

Le facteur est un crétin, lui au pouvoir, les licenciements vont tripler, parce que le patronat partira ailleurs. Il s'imagine quoi? que sa petite gueule suffira à les faire rester, qu'ils vont accepter de perdre leur entreprise, ou qu'ils vont en faire cadeau à la nation? nous avons nationalisé à l'époque Mitterrand, ça nous a coûté d'autant plus cher qu'il a fallu ensuite faire le contraire - on a payé deux fois.