un massacre sous les yeux de l'ONU

que ça nous serve de leçon!


http://www.lemonde.fr/international/article/2008/11/07/au-nord-kivu-une-tuerie-a-eu-lieu-sous-les-yeux-des-casques-bleus_1115922_3210.html#ens_id=1106739

les pays qui envoient des soldats à l'onu reçoivent beaucoup d'argent ; ils sont courageux mais pas intrépides, ce sont des soldats d'opérette. S'enfermer comme ils l'ont fait est une honte, je me demande de quelles nationalités ils sont? Le Monde ne le dit pas.
Comme d'habitude, les protestants ont été les plus courageux, ils sont restés pour soigner la population.

Ce n'est pas la premiere fois, meme dans cette region du globe.
Rappelez vous aussi l'attitude des soldats neerlandais de l'ONU a Srebrenica. Et la FINUL au Sud-Liban qui ferne deliberemment les yeux face au renforcement du Hezbollah sur le terrain.

Srebrenica en regardant le reportage à la télé, presque en direct, j'ai eu l'impression de vivre le massacre des Juifs par les nazis.
De la même manière des camions pleins d'hommes qui partaient pour une destination inconnue. J'aurai été le commandant de la FINUL qui a assisté à ça, je me serai suicidée, je pense.
De Gaulle avait raison, l'ONU est un sale machin qui ne fait que permettre à des dirigeants de se glorifier de pouvoirs qu'ils n'ont même pas, de mener une vie de luxe.

Guitl,

J'etais pendant quelques annees officier de liaison de Tsahal avec les forces de l'ONU stationnees aux frontieres d'Israel (sud-Liban et Plateau du Golan). Cette fonction m'avait ete devolue a cause de ma maitrise de certaines langues europeennes.
J'ai donc cotoye surtout des officiers de l'ONU, et tous, sans aucune exception, emargeaient soit au Mossad, soit aux services de renseignements de la Syrie, du Liban, de l'OLP, et du mouvement Amal (le predecesseur du Hezbollah). Cela leur permettait d'agrandir de facon substantielle leurs revenus. Ils passaient environ un an au Proche-Orient et repartaient chez eux (principalement en Scandinavie, mais aussi en Amerique du Sud, ou meme en France) pleins aux as.