A Paris, les Mohels qui ne sont pas médecins sont rattachés aux Hopitaux de Paris, et s'ils ont un agrément, il ne fait aucun doute qu'ils ont toutes les informations pour limiter les risques.
Il faut espérer que la volonté d'accomplir cette mitsva ne fasse pas délirer des fanatiques au point d'oublier les précautions élémentaires..
Mais normalement, c'est le bouche à oreille qui fait que l'on décide de choisir le bon Mohel.
Dans les shtetl, ce problême n'existait pas.