Le sénateur démocrate Barack Hussein Obama, le nouveau chouchou des médias français, condamne la présence de l’armée américaine en Irak, c’est d’ailleurs sans doute une des raisons pour laquelle il est adulé en France.
Obama est noir et les médias l’aiment aussi pour sa couleur de peau mais pas seulement car Condoleezza Rice est également noire mais elle n’a droit à aucune marque de sympathie. Ici, on aime Obama, car il parle comme les diplomates du Quai d’Orsay et n’hésite pas affirmer son envie d’aller encore négocier avec les mollahs en Iran.
C’est désormais le seul élément qui peut rendre un Américain sympathique : qu’il soit pour le fait d’accorder plus de délais aux mollahs et qu’il ne montre aucun intérêt pour les droits de l’homme ou pour un changement de régime en Iran. Le beau Obama est également sensible à « la libre expression musulmane ».
Il a presque tout pour être candidat en France tant son discours international est expurgé de réalités géopolitiques. Son désir de dialoguer peut conduire à une légitimation du régime des mollahs et de sa demande de négociations régionales. Obama comme d’autres en France ou ailleurs risque uniquement de contribuer au renforcement du « rôle régional des mollahs » et à une déstabilisation durable de la région et de l’approvisionnement énergétique des Etats-Unis et de ses alliés européens ou asiatiques.
Dans ce concert ininterrompu d’éloges sur les inepties proférées par Obama, une voix s’est élevée contre. Il s’agit du 1er ministre australien, John Howard. Selon Howard, quitter l’Irak ou discuter avec certains revient en gros à donner un blanc seing aux terroristes (aux ordres de Téhéran). Les partisans d’Obama ont crié halte à l’ingérence dans la politique intérieure américaine comme si négocier avec des terroristes ne serait pas une ingérence dans la politique intérieure des Etats comme le Liban.
Le candidat Obama monte dans les sondages sans tenir compte de la portée géopolitique de ses propos. Bien heureusement, il est loin d’avoir des responsabilités. IRAN-RESIST s’est donné la tâche de s’adresser aux candidats aux prochaines présidentielles en France et aux Etats-Unis pour les informer sur l’Iran, leur exposer les méfaits de leurs déclarations politiquement correctes, expliquer les ruses utilisées par Téhéran et les vrais enjeux géopolitiques de la crise nucléaire.
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