Je viens de lire ce lien: http://schoenel.unblog.fr/la-saga-judaiquo-catholique-de-la-famille-sarkozy-continue/
La saga judaïquo-catholique de la famille Sarkozy continue….Le fils cadet du président de la République, Jean Sarkozy, se fiance ce dimanche 15 juin avec Jessica Darty, l'héritière de la chaîne de magasins d'équipement électroménager, écrit Le Point, et se trouverait actuellement en Israël. Une grande fête a eu lieu dans l'après-midi, à Neuilly-sur-Seine, dans un hôtel particulier du boulevard d'Argenson, situé à deux pas de la mairie. Une tente avait été dressée dans le jardin et le tout nouveau conseiller général des Hauts-de-Seine, qui a connu Jessica sur les bancs du lycée Saint-James, lui a offert un diamant de chez Tiffany (une bijouterie prestigieuse) en guise de bague de fiançailles.
“Très religieuse, la jeune femme initie Jean aux rites et à la culture judaïques. Jean Sarkozy suit des cours de Torah avec un rabbin. Jessica Darty aimerait que Jean Sarkozy prenne des cours d’hébreu.”
Jessica (SEBAOUN) DARTY est juive, Jean Sarkozy est catholique. Sa mère est catholique. “Il est en Israël pour s’imprégner de la culture juive”. Un retour aux sources pour le jeune Jean, ancien élève de Sainte-Croix de Neuilly mais dont l'arrière-grand-père, le mégorash Aaron Beneko Mallah, comptait plusieurs rabbins dans sa parentèle.
C'est qu'il est né sous une heureuse étoile le fiston Sarkozy… Jean Sarkozy, âgé de 21 ans, est conseiller général des Hauts-de-Seine, il s'est porté candidat à la tête du groupe UMP-Nouveau Centre au conseil général des Hauts-de-Seine, pour souffler la présidence du groupe UMP-NC à Jacques Marseille au Conseil Général, et qu'il n'a que 21 ans. Tout lui sourit à ce jeune homme. Non, n'y voyez pas la moindre trace de népotisme, ce n'est pas le genre de notre République…
Décidemment le chassé croisé judaïquo-catholique dans la famille Sarkozy est pour le moins remarquable, jugez vous-même :
Pour le grand chanoine de la République, Nicola Sarkozy :La famille juive sépharade de Mme Andrée Mallah, mère de SARKOZY par David Rosenfeld - Israelvalley
Le jour d’intronisation du nouveau Président Sarkozy,
tous les journaux ont écrit sur son père Pal et ses origines hongroises.
Rares sont ceux qui se penchent sur la vraie famille de Sarkozy, les Mallah. Nous allons donc vous présenter la famille juive sépharade de Mme Andrée Mallah, mère de Nicolas Sarkozy.
Car Nicolas Sarkozy va grandir dans la famille de sa mère. Le jeune Nicolas n’a que 4 ans lorsque son père Pal Sárközy de Nagybocsa quitte le domicile conjugal et divorce de Mme Andrée Mallah. Pour les 3 garçons Guillaume, François et Nicolas, la figure paternelle devient Bénédict Mallah, le père d’Andrée Mallah.
Bénédict Mallah, né Aaron “Beniko” Mallah, est un megorashim, c’est-à-dire un descendant des juifs sépharades expulsés d’Espagne en 1492 par le Roi Ferdinand, à l’instar du sénateur UMP Roger Karoutchi, un des proches de Nicolas Sarkozy. Le grand-père Bénédict Mallah est un « Juif de Grèce », né à Salonique en 1890. Il appartient à la famille Mallah (« Messager » ou « ange » en hébreu) qui s’installe au 16ème siècle dans le Sud de la France avant de s’installer à Salonique, 2ème ville de Grèce, au 17ème siècle.
Salonique est une communauté juive installée dès le 1er siècle, et St Paul de Tarse prêcha dans la synagogue de la ville sur son chemin vers Rome. St Paul y écrivit ses célèbres 2 Epîtres aux Thessaloniciens. Salonique est devenu le centre du mouvement messianique juif des Sabbatéens, déclenché par Sabbataï Tsevi, du 17ème siècle jusqu’au début du 20ème siècle. A cette époque, la communauté juive représente plus de la moitié de la population de Salonique (on y parle le ladino) jusqu’au grand incendie de 1917 qui détruisit la ville et ruina ses habitants, forcés à l’exile.
Bénédict Mallah est l’aîné de 7 enfants. A la mort de son père en 1913, sa mère part avec tous ses enfants en France où le jeune Bénédict devient médecin et sert en tant que docteur au sein de l’armée française durant la Première guerre Mondiale. C’est pendant la Grande Guerre qu’il rencontre sa femme, Adèle Bouvier, une jolie infirmière catholique avec qui il aura 2 filles : Suzanne et Andrée Mallah, la mère de Nicolas Sarkozy. Bénédict Mallah s’installe ensuite à Paris 17ème en tant que médecin urologue.
Lors d’un voyage à Salonique en 2006, la communauté juive de la ville a remis à Nicolas Sarkozy l’arbre généalogique de la famille Mallah. On y retrouve le père de Bénédict, joaillier, son oncle Moshé, rabbin et éditeur du journal grec El Avenir. On trouve également deux cousins Asher Mallah, sénateur grec qui en 1912 participa à établir l’université du Technion à Haïfa en Israël, et Peppo Mallah, également sénateur grec appelé à devenir le premier représentant diplomatique d’Israël en Grèce.
Durant la Seconde Guerre Mondiale, la plupart de la famille Mallah de Salonique périt dans l’Holocauste (les nazis ayant tué 96% des Juifs de Grèce). Les survivants sont établis en France, en Angleterre, en Israël et en Suisse. En France, la famille Mallah se cache en Corrèze pour échapper aux rafles.
Après la naissance des 3 frères Sarkozy et le départ de Pal en 1959 lorsque Nicolas a 4 ans, Mme Andrée Mallah reprend ses études d’avocat et élève ses fils avec l’aide du grand-père Bénédict. Nicolas est le plus proche de Bénédict Mallah qu’il considère dans un récit biographique comme son père. Bénédict transmet à son petit-fils sa passion pour la France et pour De Gaulle. En 1972, lors du décès de Bénédict Mallah, Nicolas Sarkozy a 17 ans et c’est la déchirure, une profonde tristesse. L’idéal judéo-grec n’est plus auprès de lui mais aura su laisser des traces profondes dans ses valeurs. La famille quitte Paris pour s’installer à Neuilly sur Seine, où habite Pal, et dont Nicolas deviendra à l’âge de 28 le plus jeune maire. La suite appartient à l’Histoire.
Nicolas Sarkozy a effectué plusieurs visites en Israël. Il entretient des liens amicaux avec plusieurs personnalités dont Benjamin Netanyahu, ancien Ministre israélien et favori des prochaines élections en Israël. Sa position par rapport à Israël était déjà résumé dans son « Discours d’Herzliya » prononcé en décembre 2004 dans la capitale de la high-tech israélienne.
Nicolas Sarkozy rappelle dans ce discours tout ce qui rapproche nos 2 pays,
la francophonie forte de 500,000 personnes en Israël.
Pour la première Dame de France, Carla Bruni-Sarkozy :Carla Bruni, de son vrai nom Carla Gilberta Bruni-Tedeschi (Tedeschi signifie “Allemand” en Italien et Bruni signifie “brun”), est née le 23 décembre 1967 à Turin en Italie. Bruni-Tedeschi, un nom qui chante comme le
Horst-Wessel-Lied.Entre un grand-père mélomane fondateur de l’empire industriel CEAT, une mère actrice et pianiste, et un père compositeur d’opéra et riche industriel, Carla Bruni a reçu une éducation catholique. En fait, elle est la fille de Maurizio Remmert, un commerçant italien âgé de 61 ans maintenant qui a eu une liaison avec la mère de Carla Bruni, Marisa Bruni, alors que celle-ci était déjà mariée avec Alberto Bruni. Mais Carla grandit aux côtés de sa mère et de son mari, Alberto Bruni Tedeschi, qui la considère comme sa fille légitime ! Ils ont déjà ensemble Virginio (décédé le 04 juillet 2006) et Valeria, née le 16 novembre 1964… Cependant, dans les années 70, un groupe de terroriste d'extrême gauche, “Les Brigades Rouges”, sème l'anarchie par des actions de propagande et de violence (séquestration, assassinat…), la famille Bruni-Tedeschi, par peur d'enlèvements, s'exile et s'installe en France en 1973. Une mère actrice et pianiste concertiste, un père compositeur de musique classique, d'opéra italien, une sœur actrice, comédienne de théâtre, scénariste et réalisatrice de cinéma, Carla Bruni acquière le goût artistique et plus particulièrement celui de la musique… Elle fait donc des études d'architecture à Paris puis les arrête à l'âge de 19 ans. En 1985, elle débute une carrière de mannequin pour l'agence parisienne City Models.
Valeria Bruni-Tedeschi, sœur de Carla Bruni, dévoile une relation compliquée avec la communauté juive : “J’ai eu une éducation catholique, mais Tedeschi est un nom juif d’Italie du Nord. Mon grand-père paternel s’est converti pendant la guerre et a épousé une catholique, ce qui lui a valu d’être banni par la communauté juive de Turin. J’ai mis très longtemps à l’accepter, comme si j’avais hérité de sa faute. Même si ma famille n’a pas été déportée, je me sens très proche du désarroi de cette communauté juive.”
Carla Bruni connaît très bien Israël à travers son ex-compagnon Arno Karsfeld qui a la double nationalité franco-israélienne. Carla Bruni a vécu avec l'éditeur Jean-Paul Enthoven tout en ayant une liaison avec son fils Raphaël Enthoven (juif agnostique), le mari de Justine Lévy (la fille de Bernard-Henri Lévy) avec qui elle aura un enfant, Aurélien, né en 2001. En 2004, Carla Bruni devient l'un des personnages du premier roman de Justine Lévy (Rien de grave). L'éditeur est un grand ami de Bernard-Henri Lévy, Jean-Paul Enthoven, le père de Raphaël Enthoven. Le livre raconte les déboires de Justine Lévy après son divorce avec Raphaël Enthoven parti vivre avec Carla Bruni.
Dans “Rien de grave” (Ed. Stock, 2004), Justine Levy (Louise, dans le roman), la fille de BHL, raconte sa rupture avec son mari et qualifie sa rivale de “Terminator”.
Dans tout cela rappelons quelques principes de bases bibliques:
Lévitique 18:8 Tu ne découvriras point la nudité de la femme de ton père. C’est la nudité de ton père.Lévitique 18:15 Tu ne découvriras point la nudité de ta belle-fille. C’est la femme de ton fils: tu ne découvriras point sa nudité.Matthieu 18:7 Malheur au monde à cause des scandales! Car il est nécessaire qu’il arrive des scandales; mais malheur à l’homme par qui le scandale arrive! http://schoenel.unblog.fr/la-saga-judaiquo-catholique-de-la-famille-sarkozy-continue/