La garden party de Rachida
Nous avons assez dénoncé ici la politique arabe du Quai d’Orsay qui, culminant avec la calamiteuse présidence de Jacques Chirac alignée sur la Ligue arabe, plaçait les Etats-Unis et Israël pratiquement dans le camp ennemi. Avec la politique de rupture promise par le candidat Nicolas Sarkozy, on pouvait croire que cette politique, profitable à quelques privilégiés mais désastreuse pour la France, allait être repensée et mieux équilibrée. Les gestes ayant une valeur de symbole, que signifie la garden party du 13 juillet donnée dans le jardin du ministère de la Justice, place Vendôme à Paris par « la » ministre française de la justice et Garde des Sceaux ? Ce soir là elle donnait ''une réception aux couleurs de l'Europe et de la Méditerranée à l'occasion de la fête nationale de la République Française'' et s’exprimait en présence des ministres de la Justice notamment espagnols, hongrois, luxembourgeois, portugais, slovaque, libanais, marocain et palestinien (Guysen.International.News).
Mais qui, entre Rachida Dati, ministre de la Justice, Bernard Kouchner, ministre des affaires étrangères ou Nicolas Sarkozy, remuant président de la République, a décidé la mise en quarantaine du ministre de la Justice d’Israël, pays pourtant méditerranéen ?
À croire qu’à l’instar de la candidate Ségolène qui avouait son admiration pour la célérité de la justice chinoise, notre ministre de la Justice préfère la Justice palestinienne avec ses expéditives exécutions capitales en série, à la justice israélienne qui a le tort de ne pas recourir à la peine capitale et d’être indépendante du pouvoir politique. Israël, c’est «peu de chose» mais l’écarter pour ne pas déplaire à tel ou tel état arabe, c’est déjà capituler devant le chantage des totalitaires.
sur la même page
http://www.libertyvox.com/article.php?id=261
Le café d’Adolf Hitler.
Immigration choisie
De la francophonie à l’arabophonie : une politique de rupture ?
le hezbollah à la Celle st cloud, invité par Kouchner
Croix Rouge et étoile jaune.