6 asso caritatives mises en examen

m...j'entends d'ici ma tante !

http://www.liberation.fr/societe/0101608224-6-associations-caritatives-mises-en-examen-pour-escroqueries

il peut y avoir des erreurs de gestion, avoir du coeur ne donne pas toujours les qualités qu'il faut pour gérer, mais j'ai l'impression que ces montages ne servaient qu'à enrichir certains. Il vaut mieux donner aux religieux.Je donnais quand je travaillais à un frère, qui venait faire la quête pieds nus l'hiver dans des sandales et l'argent allait en Afrique pour des écoles.
Et c'est vrai, nous avions une femme de ménage africaine, qui parlait et écrivait parfaitement le français, avait appris la couture, chez les soeurs.

On se fait taper jour et et nuit. Aujourd'hui, j'ai ete sollicite dehors par 3 personnes, j'ai donne un shekel a un violoniste, au moins il faisait quelque chose, pas comme les deux autres qui ne demandaient que de l'argent.
Et ce soir, ce fut le tour de l'ABSI (je donne ce nom, mais enfin, il s'agit de la maison-mere, "Agouda leMaan Ha'hayal").
Ma femme avait fait l'erreur de leur donner 50 shekels l'an passe. Depuis, ils n'arretent pas de nous harceler par telephone a la maison et par la poste. Je ne suis pas pres a donner a un organisme ou de l'aveu de leurs propres dirigeants, plus de 70% des dons vont au fonctionnement de l'organisme. Je ne vois pas pourquoi le President de cet organisme doit toucher, en plus de sa pension militaire (c'est un ex-general), un salaire mirobolant, double de frais de fonctions sans fin, sans parler de l'armee de fonctionnaires et de schnorrers plus ou moins professionnels.

Il y a de nombreuses associations qui font un travail remarquable. Il faut s'informer ou observer.
Bien sûr il y a aussi des abus. Des nébuleuses.

Je me souviens avoir discuté un jour avec une brave femme -j'en suis certaine- qui vendait des noix de cajou au prix de l'or. Elle appelait ça défendre le commerce équitable. C'était d'ailleurs dans le nom de son association. J'ai retenu mon envie de rire et lui ai posé des questions. Avec une naïveté déconcertante elle m'a expliqué que leur grand homme (le chef, celui qui avait créé la boutique) se rendait régulièrement en Amérique du Sud. Il négociait en ces terres lointaines. Elle n'en savait pas plus.
Oui les noix se vendaient avec d'autres bricoles qui semblaient savoureuses. Les épiceries fines ont des prix plus raisonnables. Mais elles n'écrivent pas sur la vitrine le mot magique : équitable. Et leurs vendeuses sont rémunérées. Les vilaines !


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Georges, tu parles de l'ABSI KEREN OR?