alors moi, je n'ai jamais eu d'état d'âme - sauf à l'époque de septembre noir, le massacre des palestiniens par les jordaniens ; lorsque j'ai dit à une copine israélienne que j'avais trouvé cela affreux, elle m'a demandé si j'étais normale. Qu'ils étaient les ennemis d'Israël, qu'il fallait avoir pour eux la même pitié qu'ils avaient pour nous, sinon c'était un signe de faiblesse, et la faiblesse c'est un luxe pour occidentaux.
Qu'ils paient au prix fort surtout en France. Cette dernière remarque est de moi et c'est mon sentiment.