Bolloré est lié à des sociétés publiques

PARIS (Reuters) - Au moins une des sociétés de Vincent Bolloré dépend de commandes publiques, affirme la CGT après que l'homme d'affaires, qui a invité Nicolas Sarkozy pour une croisière à Malte, ait dit n'avoir "aucune relation commerciale avec l'Etat".

Le syndicat des journalistes SNJ-CGT de France 3 cite la Socété française de production (SFP), que le groupe Bolloré détient à travers une participation de 40,6% dans Euro Média Télévision.

Le propriétaire du groupe Bolloré "n'a bien sûr rien à voir avec le rachat, au quinzième de sa valeur, de la Société Française de Production (SFP), ex-entreprise publique", déclare le SNJ-CGT dans un communiqué teinté d'ironie.

"Rien à voir non plus avec les flux de commandes publiques obligatoires qui la font fonctionner au détriment de l'outil public de France 3 et de ses salariés", ajoute le syndicat, qui rappelle au passage que le débat télévisé entre Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal, le 2 mai, avait été enregistré dans un studio de la SFP.

Après les critiques de l'opposition sur les vacances luxueuses du futur président financées par l'industriel, Vincent Bolloré a assuré dans un communiqué que son groupe "n'a jamais eu aucune relation commerciale avec l'Etat français".

Salut Cosmos, les vacances se sont terminées?En tout cas je constate que tu effectue ta rentrée en même teps que Sarko ! Au fait en quoi cela est il genant que l'etat français préfère des entreprises françaises?

Je ne te salue pas. Que mes vacances soient terminées ou pas, qu´est ce que ca peut te faire au juste?

Au fait, n´y a-t-il pas suffisamment de discussions à la louange de Sarko ouvertes sur le forum pour que tu viennes obligatoirement t´accrocher à celles qui l´égratignent un peu?

ah vous n'allez pas commener dejà! rompez!

COSMOS a écrit:

Qu´est ce que ca peut te foutre?

foutre
verbe transitif
(latin futuere, avoir des rapports avec une femme)
Populaire
Posséder charnellement quelqu'un.
Lancer avec violence, donner, mettre, flanquer -- Foutre un coup à quelqu'un. -- Il va se faire foutre à la porte.
Faire (seulement négatif ou interrogatif) -- Il n'a rien foutu de la journée. -- Qu'est-ce qu'il fout ?
Aller se faire foutre: aller au diable.
Ça la fout mal: ça fait mauvais effet.
Envoyer quelqu'un se faire foutre: l'envoyer promener, balader.
Foutre en l'air: abîmer, détériorer quelque chose ; épuiser, ruiner quelqu'un ; compromettre, ruiner quelque chose ; jeter quelque chose, s'en débarrasser.
Je t'en fous !: allons donc ! (exprime le doute).
Je t'en foutrai, moi, de…: se dit à quelqu'un qui n'est pas satisfait de ce qu'il a, reçoit ou constate.
N'avoir rien à foutre: ne pas se soucier de quelque chose, de quelqu'un, ne leur attacher aucune importance, y être indifférent.

adm-janine a écrit:

ah vous n'allez pas commener dejà! rompez!

Dis moi Janine entre moi et Cosmos lequel des deux reste poli ?

Jacky calme toi cela ne sers à rien de se disputer sauf à certains qui se trouvent à l'extérieur du forum et qui se réjouissent de cet état de fait. Tout le monde doit se respecter et tout ira bien à commencer par moi-même qui restera zen sous les pires critiques que l'on pourra m'adresser... amen.....

Mais je ne suis pas excité je demande seulement à ce que l'on reste poli.
Si j'avais envie de m'exciter j'irais sur d'autres sites si tu vois ce que je veux dire......

http://leruisseau.iguane.org/spip.php?article377


tiens lis ça, tu verras qu'il y a des précédents célèbres ; je préfère ne pas en parler, l'article suffira à réveiller ta mémoire. Sans commentaires.

cessez de vous engu....c'est pas drôle.

j'ai trouvé ce que je cherchais, j'aime mieux un article de journal, c'est plus clair, ça évite le lachon ara.Le lachon ara revient cher pour des particuliers. Il me semble que la subvention c'est la gauche qui l'avait donnée, et tout ça pour rien. Mais il y a une autre histoire encore, concernant cette papeterie, il faut que je la trouve.

http://www.humanite.fr/journal/2001-01-11/2001-01-11-237779

Face à un tel phénomène, Jacques Saint-Cricq dénonçait la situation de l’industrie papetière en France dans le Figaro le 28 décembre dernier. " Avant la vente de La Chapelle-d’Arblay (producteur français de papier journal, N.D.L.R.) au géant finlandais UPM Kymmene, en 1990, le gouvernement avait subventionné la modernisation de cette entreprise. Cette aide de l’État avait néanmoins été conditionnée par l’engagement de l’entreprise de fournir en priorité les éditeurs français. Des promesses qui ne sont pas tenues aujourd’hui. " Ainsi vont les paradoxes : pour cause de tempêtes, on ne sait plus que faire des arbres abattus, et, aujourd’hui, les multinationales, incapables de répondre à la demande, provoquent une hausse importante du prix du papier.

http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&id_notice=CAB8401694201