[Cet article est long mais grave. Prenez votre temps. Je n’écrirai pas pendant quelques jours de toutes façons.]
Je vais vous la jouer comme Beckham classique : j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle, je commence par laquelle ?
87 % des sondés préfèrent commencer par la bonne, estimant que l’endorphine sécrétée par icelle atténuera la tristesse de l’annonce de la mauvaise. Nous allons tenter l’expérience.
La bonne nouvelle
J’étais au fameux match PSG - Hapoel Tel Aviv du jeudi 23/11 dernier. Dans la tribune collée à celle d’Auteuil. Alors pour les néophytes du football (dont je faisais partie il y a encore quelques jours), on distingue au Parc des Princes deux types de gros cons tarés écervelés : le kop de Boulogne, crâne rasé, bras droit tendu, ce sont les nazillons dont la presse a abondamment parlé. La tribune d’Auteuil, à l’autre extrémité du stade, ce sont les gentils supporters, concons mais gentils. Ils sautillent en chantant gaiment des chansons, ils insultent l’équipe extérieure mais après tout, on est au foot.
La bonne nouvelle est donc maigre, mais elle m’a terriblement ravi : Hapoel Tel-Aviv bat le PSG par quatre buts à deux, quatre buts magnifiques devant une équipe du PSG fébrile voire inexistante. Hapoel Tel-Aviv, à poil PSG !
la suite, mauvaise nouvelle,
http://www.qwoq.com/blog/2006/11/27/tribune-pestilentielle/