La Littérature a horreur du vide
« Un absent au Salon des écrivains du B’nai B’rith, dimanche 19 novembre 2006.
Les visiteurs commençaient à arriver ; les organisateurs à respirer.
Les libraires veillaient et les écrivains s’installaient…
Mais une chaise restait vide.
Les autorités serraient des mains, les journalistes étaient recherchés et les vedettes, déjà, signaient.
Les amis se reconnaissaient ; les groupes commentaient ; les complices riaient …
Mais une chaise restait vide.»
(...)
Francine Girond pour Primo-Europe
...