Rebondissement dans cette affaire de l'attentat récent dans un église copte d'Alexandrie qui avait fait 24 morts
De forts soupçons pèsent sur une personnalité influente du régime égyptien sur la base du témoignage d'un officier.
Un membre du clan Moubarak est soupçonné d’avoir commandité l’attentat anti-chrétien d’Alexandrie Hier, l’ex-ministre de l’Intérieur égyptien, Habib El Adly, a été mis en examen pour son implication supposée dans l’attentat anti-copte du Nouvel An qui a causé la mort de 24 personnes à Alexandrie. Le procureur général Abd-el-Majid Mahmud a considéré qu’il existait suffisamment d’éléments « sérieux » pour ouvrir une enquête sur l’ancien homme fort du régime Moubarak.
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Venu demander l’asile politique, le lieutenant Fathi Abdelwahid, ancien membre de la police secrète du régime, a révélé que l’attentat d’Alexandrie résulterait d’une machination organisée par l’ex-ministre de l’Intérieur. L’objectif consistait à s’attirer la solidarité des gouvernements occidentaux en provoquant un attentat qui serait sous-traité par des extrémistes islamistes, eux-mêmes recrutés -et finalement piégés- par un intermédiaire.
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Une note d’espoir s’est fait néanmoins entendre : à l’inverse de l’intelligentsia française, les Coptes sur place ne semblent pas avoir cédé au piège consistant à se représenter tous leurs concitoyens comme les membres d’une communauté musulmane devenue tout à coup hostile et dangereuse. L’attentat d’Alexandrie n’a pas complètement atteint le but fomenté par ses commanditaires.
Naturellement Il faut garder à l'esprit que faute de preuve(s), toute personne est présumée innocente.
Victor