Une blague locale raconte qu’après sa fuite d’Égypte, Moïse a erré 40 ans dans le désert parce qu’il cherchait le seul endroit de la région où il n’y ait pas de pétrole !
C’est une façon ironique d’illustrer qu’« à défaut de ressources naturelles, Israël a misé sur sa matière grise », dit Amotz Asa-El, président de l’édition israélienne de Business Week et ex-éditeur du quotidien Jerusalem Post.
il faut aussi souligner la simplicité des dirigeants de l'état, lors de sa création ; leur manière de vivre sans ostentation ; hier à la télé, un français dont j'ai oublié le nom racontait qu'il avait rendez-vous en Israël avec le ministre de l'intérieur ; il sonne, quelqu'un lui ouvre, il dit "j'ai rendez-vous avec le ministre de l'intérieur", la personne qui a ouvert lui dit "c'est moi".
Golda Meir, c'est connu, recevait dans sa cuisine, et les réunions ministériels c'était aussi, dit-on, dans sa cuisine.
Ce qui a toujours caractérisé les dirigeants israéliens, c'est l'amour qu'ils portent au peuple juif dans son ensemble, sans distinction de couleur ou de pays d'origine.
C'était des princes, même s'ils n'en avaient pas le titre.