C'est un juif qui va aux courses pour la 1e fois.
Il voir un rabbin qui bénit un cheval, il note le numéro à tout hasard, parie 2€ dessus, le cheval gagne, il touche 20€.
Il retourne voir le rabbin, qui bénit un autre cheval, note le numéro, parie les 20€, le cheval gagne, il touche 100€.
Le manège continue, avant chaque course le rabbin bénit un cheval, le type mise dessus, le cheval gagne... et le voilà avec 5000€.
Arrive la dernière course, même manège, le type mise les 5000€ et le cheval....arrive dernier.
Furieux, il retourne engueuler le rabbin, qui lui répond :
"le problème avec vous, les juifs réformistes, c'est que vous ne faites pas la différence entre une bénédiction et un kaddish !!!!
(Le
Kaddish (
hébreu :
קדיש qaddish, « sanctification ») est l'une des pièces centrales de la
liturgie juive et a également influencé plusieurs prières chrétiennes, dont le
Notre Père[1].
Il a pour thème la magnification et sanctification du
Nom divin, en référence à l'une des visions
eschatologiques d'
Ézéchiel[2].
Plusieurs versions en existent dans la liturgie, la plus connue étant celle des
endeuillés, bien que le
Kaddish ne comporte aucune allusion aux morts ni à leur résurrection.)