guitl il y a la fameuse ginette
MEMRI Middle East Media Research Institute
Dépêche fr. n° 240
Des militantes françaises pro-Kadhafi manifestent en Libye et accusent Sarkozy de crime de guerre
Ci-dessous des extraits d´interventions de Maria Poumier, co-pr��sidente de l´association Entre la plume et l´enclume, et de Ginette Hess-Skandrani, co-fondatrice du parti des Verts (qui en a été exclue en 2005). Maria Poumier et Ginette Hess-Skandrani se sont toutes deux illustrées dans le passé par leur soutien à des personnalités renommées négationnistes. Ces extraits ont été diffusés sur les chaînes libyennes Al-Jamahiriya et Al-Libiya le 28 mars 2011.
Voir les extraits vidéo en français :
http://www.memritv.org/clip/en/0/0/0/0/0/0/5080.htm?lang=fr
Al-Jamahiriya TV (Libye), 28 mars 2011
Maria Poumier (co-présidente de l´association Entre la plume et l´enclume) : C´est extraordinaire ! Le soutien du peuple à Kadhafi est merveilleux. Nos médias sont menteurs. Notre président Sarkozy est un criminel de guerre et il doit être jugé comme criminel de guerre, complice de génocide. Il attaque la Libye pour détruire la Libye, détruire la souveraineté du peuple libyen, l´intégrité du territoire libyen, et le peuple français n&acu te;est pas d´accord avec Sarkozy. Le peuple français est perplexe ; il ne comprend pas ce qui se passe, parce que les médias nous mentent tout le temps.
Ginette Hess-Skandrani (co-fondatrice du parti des Verts) : Et ils disent que Kadhafi est un dictateur, que c´est un sanguinaire. Ils ont même traité Kadhafi de raciste, parce qu´il met les noirs devant, pour protéger le peuple libyen. Ils ont raconté chez nous ça, nous l´ont raconté en France. Ils disent que c´est un fasciste. Ils disent que Kadhafi c´est Hitler, que c´est un nazi, et nous, nous sommes venues ici pour montrer que ce n´est pas vrai.
Al-Libiya TV (Libye), 28 mars 2011
Maria Poumier : Sarkozy est victime d´un personnage israélien qui est une catastrophe : Bernard-Henri Lévy. Il manipule Sarkozy comme un marionnettiste. Il a dit à Sarkozy : Il faut dire du mal de l´Iran. Maintenant il faut dire du mal de la Libye.
Ginette Hess-Skandrani : Nous ne pouvons parler qu´ici. Nous venons ici pour pouvoir parler.