françois hollande concernant l'algérie,
«La France doit formuler des excuses»
http://www.lexpressiondz.com/actualite/137107-la-france-doit-formuler-des-excuses.html
et eux vont s'excuser de leur parole de putes concernant les accords d'Evian jamais respectés, les massacres après l'indépendance alors qu'ils avaient promis-juré-craché que rien ne se passerait, ils vont s'excuser de nous avoir envahi en France alors que l'indépendace, c'était quand même pour se débarrasser de nous, mais nous, nous n'arrivons pas à nous débarrasser d'eux?
vouloir le pouvoir au point de salir la France à ce point, bravo Mr Hollande.
Et la suite, ce sera quoi?
on file du fric à la Tunisie. Je présume qu'on en a trop?
http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20110809133108/algerie-france-senegal-politiquefrancois-hollande-nous-voulons-clarifier-nos-rapports-avec-l-afrique.html
François Hollande s'était rendu, en décembre dernier, à Alger à l'invitation du parti du Front de libération nationale (FLN). Interrogé lors de cette visite sur le passé colonial de la France, il avait fermement condamné la colonisation et appelé à un travail de mémoire qui permette aux deux pays de mieux «comprendre le passé pour mieux préparer le futur».
http://www.letempsdz.com/content/view/61034/1/
le FLN....Josette pourrait nous en parler, du FLN. Ils ont laissé même en France des souvenirs sanglants.
Moi qui trouvais Hollande présidentiable, et un de moins, un!!
si ça continue je vote blanc.
Il a mauvaise mémoire, Hollande ; pas moi.
Le parti socialiste devrait s'excuser pour l'algérie. Guy Mollet, que je sache, n'était pas gaulliste, et Mitterrand non plus.
guy mollet et l'algérie
Confronté, lors d'une visite à Alger le 6 février 1956, à l'hostilité violente (jets de légumes, cris, menaces de mort explicites) de la population d'origine européenne (appelée journée des tomates), puis à l'impossibilité de réunir une majorité parlementaire sur une ligne libérale en Algérie, il s'engage dans une politique répressive et refuse toute solution négociée avant la conclusion d'un cessez-le-feu ; il double en six mois les effectifs militaires déployés sur place en envoyant le contingent. Il doit renoncer à nommer Georges Catroux ministre résidant en Algérie. Il propose à Pierre Mendès France, puis à Gaston Defferre d'exercer cette fonction, mais ceux-ci refusent. Il désigne donc Robert Lacoste.
Mitterrand
En 1954, il est nommé Ministre de l'Intérieur dans le gouvernement Pierre Mendès France. Il est alors opposé à l'indépendance de l'Algérie. Ses tentatives de muter le gouverneur général Léonard et le directeur de la Mosquée de Paris, puis d'augmenter le SMIG d'Algérie, rencontrent l'hostilité des colons et de l'administration35. Le 8 septembre 1954, François Mitterrand apprend qu'il est l'objet d'une enquête de la part des services secrets français : ainsi débute ce qu'on a appelé l'Affaire des fuites36.