| forum sepharade-janine politique, divers |
| | Les tueurs du FLN | |
| | Auteur | Message |
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guitl
Nombre de messages : 57558 Localisation : PARIS BIEN ENTENDU Date d'inscription : 20/11/2006
| Sujet: Les tueurs du FLN Lun 17 Oct - 21:42 | |
| http://mejliss.com/2011/10/16/le-terrorisme-fln-en-france-tueurs-et-porteurs-de-valises-par-guy-chambarlac
http://www.algerie-francaise.org/valise/collabos.shtml
EXTRAIT - Tout a commencé, non en 1954, mais au matin du 25 août 1958 où les Français découvrent avec stupeur que la guerre d'Algérie a franchi la Méditerranée. Dans la nuit, une série d'attentats ont été commis simultanément dans plusieurs régions : postes de police attaqués, policiers et militaires tués, voies ferrées sabotées, dépôts d'essence et raffineries incendiées
Sur son propre terrain, le FLN s'est d'abord attaché à éliminer l'organisation concurrente, le MNA de Messali Hadj, et à s'imposer à toute l'immigration. Cela se fait à coups de couteau et à coups de pistolet. Ces « règlements de compte entre Nord-Africains », pour utiliser l'expression consacrée par la presse, vont faire environ plus de 4 000 morts et 8 000 blessés parmi les musulmans immigrés.
Le « nidham », organisation politique du FLN, quadrille toutes les agglomérations à forte densité algérienne. De gré ou de force chacun doit se soumettre à cette administration parallèle. La fonction principale de l'organisation clandestine est double : servir de vivier au terrorisme et collecter les fonds destinés à financer la guerre du FLN. Haroun conteste le mot mais pas la réalité de ce racket exercé par la violence sur la population algérienne immigrée. Il cite ces chiffres astronomiques et assure que les « cotisations »mensuelles ont représenté 80 % des ressources totales de la rébellion.
Ceux-sont ainsi plusieurs milliers de pistolets et pistolets-mitrailleurs qui pénètrent en France pour armer les groupes de combat et les terroristes du FLN. Pour la seule région parisienne, du 1er janvier 1957 au mois de mai 1960, vingt et un fonctionnaires de police trouvent ainsi la mort et vingt-sept autres sont grièvement blessés. Du 11 janvier 1956 au 23 janvier 1962 (on a continué de tuer après), les statistiques incomplètes de la Sûreté Nationale font état, pour la métropole, de 11 896 agressions dues à des Algériens : 3 957 Algériens, 150 civils Français, 16 militaires et 53 policiers. | |
| | | adm-janine Admin
Nombre de messages : 147666 Age : 77 Localisation : paname Date d'inscription : 19/11/2006
| Sujet: Re: Les tueurs du FLN Lun 17 Oct - 21:55 | |
| c'est drole je me rappelle presque rien de la guerre d'algerie, pourtant j'avais 13 ans mais on etait nous memes en pleine merde à marseille | |
| | | georges972
Nombre de messages : 24428 Age : 77 Localisation : Israel Date d'inscription : 20/11/2006
| Sujet: Re: Les tueurs du FLN Lun 17 Oct - 22:09 | |
| Et bien moi je me rappelle tres bien. Les rafales de mitraillette, les flaques de sang sur les paves de la rue Petit. Mes parents faisaient le detour par l'avenue Laumiere, moi je "coupais" par la rue Petit, qui etait un veritable ilot algerien. Nous avions un voisin, un flic, qui nous racontait les patrouilles dans les ruelles a cote du canal de l'Ourcq, ou souvent le premier de la file ou le dernier, se faisait egorge. Je me rappelle ces "boucliers" en beton places a l'entree des postes de police. Et j'avais surtout peur que cela ne cesse pas et qu;en fin de compte on m'envoie, moi aussi, dans le contingent faire une guerre que je savais deja, n'etre pas la mienne. | |
| | | guitl
Nombre de messages : 57558 Localisation : PARIS BIEN ENTENDU Date d'inscription : 20/11/2006
| Sujet: Re: Les tueurs du FLN Mar 18 Oct - 7:59 | |
| - georges972 a écrit:
- Et bien moi je me rappelle tres bien. Les rafales de mitraillette, les flaques de sang sur les paves de la rue Petit. Mes parents faisaient le detour par l'avenue Laumiere, moi je "coupais" par la rue Petit, qui etait un veritable ilot algerien. Nous avions un voisin, un flic, qui nous racontait les patrouilles dans les ruelles a cote du canal de l'Ourcq, ou souvent le premier de la file ou le dernier, se faisait egorge. Je me rappelle ces "boucliers" en beton places a l'entree des postes de police. Et j'avais surtout peur que cela ne cesse pas et qu;en fin de compte on m'envoie, moi aussi, dans le contingent faire une guerre que je savais deja, n'etre pas la mienne.
les français n'avaient pas envie eux non plus de faire cette guerre pour un soi-disant département, habité par des individus qui parlaient mal le français et qui ne voulaient pas de nous. Parce que les algériens l'avaient voulu ainsi ils n'étaient pas français, vivaient sous le code de l'indigénat, mais s'en plaignaient ; ils voulaient les avantages des français sans être français, ne pas respecter les Lois parce qu'ils vivent sous la Sharia. Or, être français, c'est respecter la constitution. | |
| | | josette
Nombre de messages : 12019 Age : 74 Localisation : sud de la France Date d'inscription : 20/11/2006
| Sujet: Re: Les tueurs du FLN Mar 18 Oct - 8:23 | |
| - adm-janine a écrit:
- c'est drole je me rappelle presque rien de la guerre d'algerie, pourtant j'avais 13 ans mais on etait nous memes en pleine merde à marseille
eh bien moi qui l'ai vécu je peux te dire que je m'en rappelle il faut dire que j'étais aux premières loges (lol), je suis extrêmement traumatisée et j'ai témoigné sur le site d'une dame pour la postérité car entre ce qu'on a fait avaler aux français et ce qui s'est réellement passé il y a un boulevard | |
| | | josette
Nombre de messages : 12019 Age : 74 Localisation : sud de la France Date d'inscription : 20/11/2006
| Sujet: Re: Les tueurs du FLN Mar 18 Oct - 8:25 | |
| - guitl a écrit:
- georges972 a écrit:
- Et bien moi je me rappelle tres bien. Les rafales de mitraillette, les flaques de sang sur les paves de la rue Petit. Mes parents faisaient le detour par l'avenue Laumiere, moi je "coupais" par la rue Petit, qui etait un veritable ilot algerien. Nous avions un voisin, un flic, qui nous racontait les patrouilles dans les ruelles a cote du canal de l'Ourcq, ou souvent le premier de la file ou le dernier, se faisait egorge. Je me rappelle ces "boucliers" en beton places a l'entree des postes de police. Et j'avais surtout peur que cela ne cesse pas et qu;en fin de compte on m'envoie, moi aussi, dans le contingent faire une guerre que je savais deja, n'etre pas la mienne.
les français n'avaient pas envie eux non plus de faire cette guerre pour un soi-disant département, habité par des individus qui parlaient mal le français et qui ne voulaient pas de nous. Parce que les algériens l'avaient voulu ainsi ils n'étaient pas français, vivaient sous le code de l'indigénat, mais s'en plaignaient ; ils voulaient les avantages des français sans être français, ne pas respecter les Lois parce qu'ils vivent sous la Sharia. Or, être français, c'est respecter la constitution.
oh Guitl tu déboloques on parlait parfaitement français sauf qu'on avait un accent et on leur a fait croire à ces petits soldats qu'ils se battaient pour défendre des vilains colons qui faisaient suer le burnous etc ...,
oui comme tu dis les algériens etc ... ne mélanges pas tout | |
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