Qu'ils se débrouillent, pour être poli.
En mémoire "du bon vieux Georges Ibrahim Abdallah" et de ses milices, des phalanges chrétiennes et autres rêveurs du Grand Liban multi-confessionnel...
Au grand jeu de la "chaise musicale", il n'en restera plus qu'un.
Vous êtes le maillon faible ! Au revoir !