Les Syriens estiment à cet égard que « les guerres directes et indirectes menées par la Syrie contre les autres pays et peuples arabes (Palestiniens, Libanais, Jordaniens, Irakiens et même les Syriens eux-mêmes) ont fait beaucoup plus de victimes arabes que l’ensemble des guerres israéliennes depuis 1948 ! ». Ils sont convaincus que « les fronts secondaires » entretenus par Damas à Gaza et au Liban, et le terrorisme commandité par la Syrie contre Israël, depuis notamment la seconde intifada, ont justement servi à aiguiser le discours creux du régime destiné à « commercialiser sa politique de résistance » afin de justifier le maintien de l’état d’urgence en Syrie et étouffer toute velléité populaire de réforme et de démocratie.
http://www.juif.org/go-news-165883.php