Pour sauver leur fond de commerce, les antiracistes ont dénaturé le mot racisme »
Les dirigeants de l’E-zine RIPOSTE LAIQUE (http://ripostelaique.com ) Pierre Cassen, et Pascal Hilout passeront donc devant la 17e chambre correctionnelle, le vendredi 3 février, à partir de 13 h 30, au Palais de Justice de Paris. Leur crime : pour le premier, avoir assumé, en tant que rédacteur en chef, la responsabilité de deux éditos, dont l’écriture d’un d’entre eux. Pour le second, avoir, sous le nom de Cyrano, écrit le deuxième. Ont-ils formulé des choses graves ? Nous vous laissons en juger, en lisant ces deux articles, repris par le site « Poste de Veille » :
http://www.postedeveille.ca/2011/01/france-la-ligue-des-droits-de-lhomme-veut-condamner-riposte-la%C3%AFque-au-goulag.html
Selon la Ligue des Droits de l’Homme, initiatrice de la plainte, soutenue par le MRAP, la LICRA et le CCIF, ces deux textes constitueraient une incitation à la haine « à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ».
Le philosophe Radu Stoenescu ne résumait-il pas la réalité de ce procès, dans un article intitulé « Pour sauver leur fond de commerce, les antiracistes ont dénaturé le mot racisme »
Nous sentons monter une exaspération, une colère sourde, contre ces associations qui, vivant largement des subventions publiques, ont perverti le légitime combat antiraciste, en le transformant en idéologie sectaire, au service du multiculturalisme et de l’islamisation. Les Français ne supportent plus que la moindre critique de l’islam, la moindre allusion aux origines de la majorité des délinquants soit immédiatement qualifiée de « racistes ». Cela leur est d’autant plus insupportable que nombre d’entre eux subissent, dans leur quotidien, des agressions verbales ou physiques, en raison de leur origine ou de la couleur de leur peau, et que, dans ces cas là, les prétendues associations antiracistes brillent par leur silence, théorisant la doctrine d’un Sopo ou d’une Bouteldja affirmant que le racisme anti-blanc n’existerait pas !
Faut-il rappeler que la LDH, qui a instruit ce procès, a un budget de 2 millions d’euros l’année. On peut penser que la LICRA et le MRAP tournent aux environs de 1 million d’euros l’année. Quant au quatrième compère, le Collectif contre l’Islamophobie en France (CCIF), honteusement reconnu d’utilité publique, il ne cache pas, par la bouche de son président, le but des procès qu’il intente, et ses besoins d’argent !
On peut, sans se tromper, affirmer que le rapport de forces financier entre Riposte Laïque et ses accusateurs se situe de un à mille. Le journal n’a aucun permanent, ils en ont plusieurs dizaines. Il n’a pas de local, ils bénéficient de dizaines de bureaux à Paris et en province. RL ne touche aucune subvention, les leurs se comptent en centaines de milliers d’euros chaque année, que cela vienne de l’État ou des collectivités locales. Quand ils organisent une initiative comme « L’apéro saucisson-pinard » ou « Les assises internationales sur l’islamisation de nos pays », ils les autofinancent, ils bénéficient, eux, malgré leurs subventions, de participations exceptionnelles qui remplissent encore davantage leurs caisses. Ils n’ont jamais cherché à faire interdire une de leurs actions, ou appeler à des contre-manifestations, quand ils multiplient menaces et intimidations. Les Résistants ne peuvent multiplier les procès à répétition, malgré toutes les calomnies, menaces et insultes subies (voir entre autres l’article le plus ignoble, de Fiammetta Venner paru dans une revue de la Licra, ou celui de Bernard Henry Levy qui vaut une mise en examen de son auteur, suite à une plainte du Bloc Identitaire), ils ont à leur disposition des avocats capables de multiplier intimidations et plaintes contre leurs adversaires. Cassen et Hiloul jouent leur peau dans ce procès, pour eux, c’est une goutte d’eau dans l’océan.
C’est leur logique inquisitrice qui a amené devant les tribunaux des personnes respectables comme Michel Houellebecq, Fanny Truchelut, Éric Zemmour, Marie-Neige Sardin, aujourd’hui Pierre Cassen et Pascal Hilout, et combien d’autres de malheureux concitoyens, salis, calomniés, insultés et parfois ruinés par les nouveaux Torquemada de l’antiracisme. Leur crime : ne pas aimer l’islam, le message peu amical qu’il véhicule sur notre territoire, et oser le dire !
Ce procès révolte nombre de nos amis, et plus largement des lecteurs qui, bien que ne partageant pas toujours les écrits de Riposte Laïque, connaissent Pierre et Pascal. Chacun sait que leur place n’est pas devant un tribunal. Personne ne les imagine tenir le moindre propos raciste. Chacun comprend que les maîtres-censeurs, incarnation d’un effrayant totalitarisme de la pensée, battu politiquement, veulent « se faire » Riposte Laïque, en frappant à la caisse. Ils rêvent de faire taire définitivement un journal qui les dérange, et à qui ils ne pardonnent pas une liberté de ton, voire parfois un humour totalement étranger à leur dogmatisme.
Le 3 février, nous faisons confiance à Pierre, Pascal, et à Maître Joseph Scipilliti, pour défendre l’honneur de Riposte Laïque, et hisser haut nos valeurs fondatrices : laïcité, république, nation, droit des femmes, liberté de conscience, démocratie, droit au blasphème, et surtout, amour de la France de Voltaire.