les russes, quand ils sont arrivé à Auschwitz, à Therezin où était mon père, où il a été libéré, ne se sont pas posé de questions.
Ils ont filé leurs rations, les déportés, beaucoup de déportés en sont morts, de n'avoir pas su, les soldats l'ignoraient, qu'il fallait doucement se nourrir, que le corps ne supporterait pas.
Que je sache, les russes ne sont pas tombés malades pour autant.