Je n'apprecie pas toujours les prises de position d'Annette Wieviorka, ni encore moins sa facon d'aborder l'histoire de la Shoah, mais je ne peux que saluer ici ce discernement qui met en parallele les deux discours de Chirac, celui de 1995, qui restera probablement unique en France, et celui de 2007.
Je n'aimais pas particulierement Chirac mais ses positions tres fermes au sujet de l'antisemitisme et de la dette morale francaise font de lui quelqu'un de, finalement, plus digerable que Mitterrand.