Les déclarations d’Ehoud Barak ont été renforcées par Amos Yadlin, ancien chef du renseignement israélien, actuellement à la tête de l’Institut d’études de sécurité nationale, qui a présenté les recommandations de chercheurs de l’Institut, qui notent que le règlement final du conflit en Judée-Samarie n’est pas réalisable dans un avenir prévisible. Il a également avancé que la situation actuelle de stagnation est la pire solution pour Israël et que des solutions de rechange devaient être examinées.
En revanche le ministre Moshe Yaalon a réagi négativement aux propos d’Ehoud Barak : "Quiconque pense que ce conflit a commencé en 67 et dépend des lignes de 67, n’a tout simplement pas compris le conflit". Le Ministre Gideon Saar s’y est également opposé : "On se demande comment il ya des gens prêts à jouer sur une telle idée dangereuse" affirmant que le retrait unilatéral de la bande de Gaza en 2005 avait déjà été un échec qui n’a rien résolu.
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