La dépêche nous apprend que le gentil activiste se promenait avec une grenade à la main et qu'il s'apprêtait à la lancer.
Le brave homme. L'innocent passe-temps. D'où le titre désolé du Monde.
J'espère que si un activiste se promenait dans les bureaux du journal, en se livrant à son explosive petite manie, le personnel ne serait pas aussi vilain avec lui que ces étonnants soldats israéliens.
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