Avec les nouvelles restrictions fiscales, la modernisation des infrastructures israelienne est reportee aux calendes grecques. Il manque 15 milliards de shekels dans les caisses de l'Etat, ce qui signifie un deficit budgetaire de 4.1% alors que le Gouverneur de la Banque d'Israel avait fixe les buts de son entreprise a un deficit de 2% seulement.
Les discours sur une eventuelle attaque israelienne des installations nucleaires israeliennes ont permis de cacher a la population l'augmentation dramatique des frais supplementaires de l'Etat, notamment l'augmentation disproportionnee du budget de la Defense a 60 milliards de shekels par an (plus que la totalite des depenses militaires des 4 etats arabes voisins d'Israel reunis!), les depenses pharamineuses octroyees aux ultra-orthodoxes et aux colons de Cisjordanie.