C'est un effet de mode, Georges.
Il y a des mots comme ça, ou des expressions qui fleurissent au printemps et fanent sans raison.
Par exemple, depuis quelques temps, "on donne tout, on ne lâche rien !"
ou bien quand un journaliste parle d'un blessé, il se croit systématiquement obligé de mentionner si son "pronostic vital est engagé" ou non.