Le rapprochement d'Alexandre del Valle avec les milieux juifs sionistes est critiqué sous plusieurs angles. Les auteurs du livre OPA sur les juifs de France estiment qu'il demeure lié à la « mouvance identitaire » et que ses positions pro-sionistes n'auraient qu'un angle utilitaire13. Son positionnement est également critiqué par l'extrême droite antisioniste14.
Il écrit, en 1998 : « l’Européen n’a pas à s’excuser éternellement pour les Croisades, l’Inquisition, la Colonisation ou la Shoah. L’utilisation systématique, obscène même, des drames de la IIe Guerre mondiale pour discréditer les Patriotes européens est devenu tout simplement insupportable »15.
La publication d'extrême-gauche REFLEXes juge en 2001 que Del Valle présente un double visage, « celui qui s’incruste dans la communauté juive et multiplie les gages de bonne conduite politiquement correcte en attaquant les “nazis” » et « celui qui continue à écrire dans des revues extrême droitières comme Relève politique » et « continuerait à rencontrer quelques représentants de la droite la plus nazifiante »15. La même publication écrit qu'à l'IEP d'Aix-en-Provence, « ses fréquentations le poussent à participer aux activités d’Yggdrasill, petite secte païenne ultra-droitière, pour laquelle il écrit quelques articles dans la revue Muninn15 ». Lui-même conteste ces accusations, et se dit totalement opposé à l'extrême droite néo-païenne, qu'il associe au racisme et à l'antisémitisme........."""
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