Grâce à un lien donné par B., et en poussant mes investigations, je sais maintenant qu'un "parlement arabe d'Israël" risque d'être un jour une réalité.
Un moyen de se séparer physiquement des juifs, de voter leurs propres lois, de créer leurs propres universités? il serait temps, lorsqu'a été édifié l'université de Jérusalem, quelle université les musulmans avaient-ils érigée dans la région, et très très longtemps après il y a urgence??
Sur le site de l'université de Haïfa, http://hevra.haifa.ac.il/poli/data.php?lang=he&tid=53&sid=135
on lit le nom de Ghanem ; ce n'est pas un juif tunisien, c'est un professeur d'université et c'est un arabe.
Assad Ghanem dirige le département ‘Gouvernement et pensée politique’ de l’Université de Haïfa -et le centre Ibn Khaldoun, dirigé par le Dr Assad Ghanem, a organisé la semaine dernière une conférence à Oum el-Fahm sur le thème de l’élection directe du Comité de Surveillance, devant conduire à l’instauration d’une sorte de parlement indépendant pour la communauté arabe.
Est-ce que les israéliens juifs n'ont pas l'impression d'avoir une cinquième colonne, par hasard?
Sur info-palestine je lis, et jugez plutôt :
"Le document « Vision future des Arabes palestiniens en Israël », qui a été présenté hier dans les bureaux du Comité Supérieur Arabe de Surveillance, à Nazareth, déclare qu’au cours des deux décennies à venir, la communauté arabe d’Israël exigera, en fait, d’Israël de se transformer en un Etat binational, avec un partenariat entre les Juifs et les Arabes, et cela à côté d’un Etat palestinien indépendant."Indépendant concernant l'état de Palestine, mais Judenrhein. Sans Juifs.
Bravo, les enfants. Nous avons eu des kapos, nous avons eu la police juive des ghettos, maintenant "ceux-la".
Et après on s'étonne des positions d'Ariella, qui veut les reconduire à la frontière ; en cas d'accord de paix, Oum el ch'aiplutroquoi, c'est à un quart d'heure de la Judée-Samarie future palestine, il sera urgent de faire un échange. Même un désert de sable contre ces gens la, c'est une bonne affaire.
Georges, si tu me dis "les pôvres", je t'étrangle.