- clarahontas le retour a écrit:
- adm-janine a écrit:
- tu dis n'importe quoi, comment le creuset de base pouvait il etre catho alors que les juifs etaient en europe bien avant la fondation du catholicisme! relis tes livres d'histoire
Et alors depuis quand avoir une minorité juive fait qu on a des origines juives? On a une minorité chinoise, as t on des origines chinoises non. Il n y aurait pas eu le christianisme les juifs seraient restée une minorité en diaspora.
tu confonds présence juive et culture chrétienne issue du judaisme. Ce n'est pas parce que les chrétiens ont voulu assassiner le Père (les Juifs) que nous sommes morts.
SGDG pour ce qui suit
http://fr.wiktionary.org/wiki/Annexe:Mots_fran%C3%A7ais_d%E2%80%99origine_h%C3%A9bra%C3%AFque
abbé qui à première vue semble emprunté à l'hébreu: אבא (aba) = papa en français, l'est en fait à l'araméen, le mot hébreu étant "אב", dans la prononciation moderne [av]
abracadabra, plusieurs étymologies hébraïques, entre autres
abrahamique, se dit des religions qui se réfèrent au patriarche Abraham (christianisme, islam et judaïsme)
aleph, concept mathématique (cardinaux des ensembles infinis bien ordonnés) symbolisé par la première lettre de l'alphabet hébreu, l'aleph א
alleluia, de l'hébreu biblique הַלְּלוּיָהּ, « louez Dieu », souvent compris comme une invitation à chanter un hymne religieux
Aliyah, immigration des Juifs en terre d'Israël, de l'hébreu עליה (aliya)
amen, de l'hébreu biblique אמן, « je crois ; j'y crois », anciennement traduit « ainsi soit-il »
araméen, langue sémitique, du nom d'Aram, nom hébreu de la Syrie, du nom du 5e fils de Sem (Genèse, X, 22)[1].
benjamin, de l'hébreu בִּנְיָמִין (Binyamin), le dernier fils de Jacob, le plus jeune d'une fratrie
Brouhaha, de l'hébreu ברוך הבא (baruch haba) béni soit celui qui vient, formule de bienvenue employée dans les assemblées juives souvent bruyantes [2]!
cabale et Kabbale, קבלה, Kabala (tradition), interprétation mystique de la Torah
capharnaüm, כפר נחום, Kfar(ou Kefar), Nahoum (le village de Nahoum), Nahoum est un patronyme et signifie aussi consolation
carmel, carmes et carmélites tirent leur nom du mont Carmel où aurait vécu le prophète Élie
chameau, du sémitique occidental (cf hébreu גמל gamal)[3]
charivari, peut-être de l'hébreu 'haverim (camarades) dont les réunions auraient été bruyantes[4]
chérubin, (hébreu biblique), כרובים, Chéroubim pluriel de Chéroub (sorte d'ange) ;
chutzpah, mot hébreu passé en yiddish, souvent utilisé en américain et signifiant à peu près toupet ou impertinence. Il est parfois utilisé en français [5].
cidre, de l'hébreu biblique שֵׁכָר (cecar)[6], boisson fermentée[7]
échalote, אשקלון, Ashkelon (ville et port de Terre Sainte), escaluigne (Pèlerinage de Charlemagne à Jérusalem), dérivant du latin classique ascalonia, latin médiéval : scalongia ou ascaloniae. La plante aurait été ramenée depuis ce port dans l'Empire Franc.
éden, du jardin d'Éden cité dans la Genèse
Galiléen, de Galilée, région de la terre d'Israël, en hébreu biblique גָּלִיל (galil)[8]
géhenne (ou gêne), de l'hébreu biblique désignant la vallée de בֶן הִנֹּם (ben hinom)[9][10]
golem, humanoïde légendaire attribué au Maharal de Prague, de l'hébreu גלמ, golem, masse informe [11]
Golgotha et golgother, colline proche de Jérusalem, où les Évangiles situent la crucifixion de Jésus, de l'hébreu biblique gulgōlet « crâne » [12]
gouine, prostituée[13] et goujat[14], homme grossier, de goy ou goya (non juif ou non-juive)
goy, une nation dans la Bible, les gentils.
Hébreu de עִבְרִית 'ivrit [15]
hysope, hébreu אֵזוֹב, Ézov, plante médicinale plusieurs fois citée dans la Bible [16]
jacobin, du nom d'un club politique du temps de la révolution française établi à Paris, rue Saint-Jacques (prénom dérivé de Jacob)
jacobite, partisan du roi Jacques II d'Angleterre
Jérémiades, par allusion aux perpétuelles récriminations du prophète Jérémie
jéroboam, grande bouteille de vin, du nom d'un roi d'Israël, Jéroboam, qui était fort et vaillant[17]
jubilé, de l'hébreu yôbel, cor utilisé pour annoncer le début de l'année de remise des dettes, qui revient tous les cinquante ans (Lévitique 25, 10-13). Ce qu'on appelle l'« année jubilaire ».
judas, 1. traitre - 2. petite ouverture permettant de voir sans être vu : de Judas, nom de l'apôtre qui livra Jésus[18], sur Juda, Yehoudah, fils de Jacob, qui convainc ses frères à vendre Joseph
Judith, prénom juif, qui désigne aussi un des livres de la Bible (le livre de Judith). Il pourrait être traduit : la juive, la judaïté modèle, personnifiée.
Juifs, de l'hébreu biblique יְהוּדִים (yehoudim), Judéens (habitants de la Judée, en hébreu יהודה (yehoudah)) ou Juifs
kibboutz (n. m.), קיבוץ (hébreu moderne), communauté et ferme collectiviste en Israël
kippa, calotte, de l'hébreu כיפה (kippa)
lazaret, établissement de quarantaine, viendrait par croisement, à la fois de Lazare (hébreu אלעזר, Eléazar) et du nom de la ville de Nazareth[19]
lévite (masculin), membre de la tribu de Lévi, voué au service du Temple et par extension prêtre ou séminariste[20]
lévite (féminin), robe longue du XVIIIe siècle ou redingote d'homme, dérivé du précédent sens de « lévite », en raison de la ressemblance de ce vêtement avec la robe que portaient les lévites dans les pièces de théâtre et sur les tableaux[21]
macabre et macchabée, de Macchabées, héros des Livres des Macchabées[22][23]
Madeleine, plusieurs sens, d'après Marie de Magdala, nom d'un bourg de Galilée[24], de l'hébreu Migdal, tour.
manne, nourriture des Hébreux dans le Désert
messie, de l'hébreu biblique Machiah, Oint. Déjà entré sous sa forme d'origine grecque « Christos » pour désigner l'oint par les premiers Chrétiens
Moïse, corbeille d'osier servant de berceau aux nouveau-nés, de Moïse, de l'hébreu משה (Moché), qui fut trouvé dans un tel berceau sur le Nil
mosaïque, qui provient de Moïse (religion mosaïque)
nabi, groupe de peintres tirant son nom du mot hébreu signifiant prophète
nard, parfum, de l'hébreu biblique נֵרְדְּ (nerde), lui-même emprunté au sanskrit
nazir, personne consacrée à Dieu, selon Nombres 6, avec contamination sur Nazaréen[25]
onanisme, masturbation, d'Onan (hébreu אוֹנָן), personnage biblique
Palestinien et Philistin de l'hébreu biblique פְּלִשְׁתִּי (filisti)[26], Philistins
pâquerette, fleur qui fleurit à l'époque de Pâques (voir ci-dessous)
Pâques, de l'hébreu פֶּסַח (pessa'h), Pâque
paradis dérive du persan[27] mais est aussi un mot présent dans la Bible hébraïque (Cantique des Cantiques 4, 13, Ecclésiaste 2, 5 et Néhémie 2,
sous la forme פרדס (pardes). Gilles Ménage lui donnait une origine hébraïque[28].
pharaon, de l'hébreu biblique פרעה (farao), lui-même emprunté à l'égyptien[29]
pharisien, de l'hébreu péroushim (פרושים), séparés.
rabbin, de l'hébreu talmudique רַבִּי (rabbi)
sabbat, de chabbat, septième jour de la semaine juive
sac, de l'hébreu שק (sac)[30]
samaritain, habitant de Samarie, en hébreu שֹּׁמְרוֹן, Shomron
sansonnet, oiseau souvent mis en cage comme Samson (étymologie contestée)[31]
saphir, de l'hébreu biblique סַּפִּיר (sapir)[32], saphir[33]
satan, de l'hébreu שָׂטָן (Šaṭan)
sémites, mot forgé à partir du nom de Sem (en hébreu שֵׁם, šem, « nom ») désignant un des fils de Noé. Voir aussi antisémitisme.
séraphin, שרפים, sarafim ou sérafim pluriel de saraf (brûler). Employé pour désigner certains anges.
sicle, de l'hébreu biblique שקל (shekel), unité monétaire er de poids de l'Orient ancien[34]
sodomie, de l'hébreu biblique סְדוֹם (Sedom), Sodome, ville dont les habitants sont dépravés
suffète, magistrat de Carthage, mot punique apparenté à l'hébreu Shoftim, Juges.
tohu-bohu, (hébreu biblique), תֹהוּ וָבֹהוּ, "tohou-vavohou" (déserte et vide[35]Bible, livre 1, chapitre 2) Genèse 1.2 ; Arthur Rimbaud utilise l'expression tohu-bohu dans son fameux poème, Le Bateau ivre, de 1895, « Je courus! Et les Péninsules démarrées,/N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants ». Dans un de ses discours, le général de Gaulle emploie également cette expression de tohu-bohu.