le choix du roi, entre les Frères musulmans et les Salafistes...on peut choisir de se pendre?
Je pense qu'il y a en France une autre voix, mais Sarko a été très maladroit, quand il a crée le CFCM, conseillé par je ne sais qui, et ne comptez pas sur Hollande pour arranger les choses qui d'ailleurs ne peuvent pas l'être.
que pensez-vous de cet article?
http://www.lecfcm.fr/
L’idée de la renaissance chez Malek Bennabi (1/2)- source: oumma.com
L’idée de la renaissance chez Malek Bennabi (1/2)
Par Abdelkrim Semani | le 30. octobre 2012
Source: http://oumma.com/14608/lidee-de-renaissance-chez-malek-bennabi-12
Il aborde la notion du temps, le rapport entre le devoir et le droit, l’orientation du travail, du capital, à l’art, au sens esthétique, du sol, de la colonisabilité, du problème vestimentaire et son impact psychologique sur l’individu et sa relation avec la vie moderne, du problème de la désertification. Cette somme de réflexions montre par sa précocité et sa profondeur toute l’étendue et surtout l’avancée intellectuelle prise sur le front intellectuel du monde musulman de cette époque.
Le ton est donné, la réflexion s’approfondit et la vue s’éclaircit. En méditant l’ouvrage, le lecteur s’imprègne des idées de l’auteur, du général au particulier (détail). L’idée maitresse de Bennabi, est que les idées ne sont pas un vain mot, et qu’elles doivent être transcrites et vécues au niveau de la vie quotidienne à travers l’ensemble de ces menus détails qui font justement toute la différence entre le civilisé et le non-civilisé. Ces passages en sont un témoin vivant : « Tout à l’heure, en me rhabillant, j’ai eu un moment donné voulu laisser le cintre sur lequel je venais de retirer mes habits sur le lit, sous prétexte que j’allais me déshabiller dans un quart d’heure ou une demi-heure.
C’était évidemment une économie de fatigue inutile apparemment et, au fond, de la paresse. Mais je me suis ressaisi comme devant une grave faute que j’allais commettre. J’ai senti que laisser le cintre sur le lit sous prétexte que ce n’est rien, m’aurait entraîné à laisser mes sandales devant le lit sous prétexte que ce n’est rien non plus. Mais la situation qui s’est présentée à mon esprit comme la somme totale de ces riens, c’était précisément la condition de l’être non civilisé et l’état de non civilisation.