l'antisemitisme autrichien vu par un non juif

l'auteur john irving

désolé c'est en anglais


"""Irving, The Imaginary Girlfriend: A Memoir, pages 75-76:
In Vienna, I shared an apartment on the Schwindgasse, next to the Polish Reading Room, with a fellow American named Eric Ross; he was from Chicago. Eric was tall and athletic, with honey-colored, curly hair; on skis, especially, he was the picture of Aryan perfection, but of course he was Jewish--and most savvy of the myriad, insidiuous forms of anti-Semitism in Austria. I knew nothing about anti-Semites, but I learned. I was short and dark and my last name was Irving--a Scots name, but common enough as a Jewish first name so that several Viennese anti-Semites were confused. (This is on the level of intelligence with thinking that John Milton was Jewish because of Milton Friedman, but--as Eric Ross was wise to point out--no one ever said anti-Semites were smart.) Eric and I developed a routine for exposing anti-Semites. Whether I was mistreated by a waiter or a shopkeeper, or by a fellow student at the University of Vienna, it was only necessary for the faintest hint of an anti-Semitic slur to emerge; I would not infrequently miss the slur--my German being as flawed as it was--but Eric, whose German was much better than mine, would instantly alert me to the insult.
"You're being treated like a Jew again," Eric would tell me.

Whereupon , pointing to Eric, I would deliver my well-rehearsed line to the offending anti-Semite: "He's the Jew, you idiot." ("Er ist der Jude, du Idiot.") Eric always had to help me with the correct pronounciation, but we usually got our point acress: Jew baiting was not merely distasteful--those with the inclination to do it were also stupid enough to think that they could tell who was Jewish and who wasn't.

...Vienna... is a small town; its notorious anti-Semitism is only part of a mean-spirited provincialism--an overall xenophobia, a suspicion (leading to hatred) of all outsiders.""""""

'''''traduction google """


A Vienne, j'ai partagé un appartement au Schwindgasse, à côté de la salle de lecture polonaise, avec un compatriote nommé Ross Eric, il était originaire de Chicago. Eric était grand et athlétique, avec couleur miel, cheveux bouclés, en skis, en particulier, il était l'image même de la perfection aryenne, mais bien sûr qu'il était juif - et les plus avertis de la multitude des formes insidiuouses de l'antisémitisme en Autriche . Je ne savais rien à propos des antisémites, mais j'ai appris. J'étais à court et sombre et mon nom de famille était Irving - un nom écossais, mais assez commun comme un prénom juif de sorte que plusieurs viennois antisémites ont été confondus. (C'est sur ​​le plan de l'intelligence avec la pensée que John Milton était juif en raison de Milton Friedman, mais - comme Eric Ross était sage de le souligner -. Personne n'a jamais dit que les antisémites étaient intelligents) Eric et moi avons développé une routine pour detecter les antisémites. Que j'ai été maltraité par un serveur ou un commerçant, ou par un autre étudiant à l'Université de Vienne, il était seulement nécessaire pour le moindre soupçon d'une insulte antisémite à émerger, je ne voudrais pas manquer rarement l'insulte - mon allemand être aussi défaillantes que c'était - mais Eric, dont allemande était beaucoup mieux que la mienne, serait immédiatement alerter moi de l'insulte.
"Vous êtes traité comme un Juif nouveau», Eric me disait.

Là-dessus, pointant vers Eric, je voudrais offrir ma ligne bien rodée à l'antisémite fautif: «Il est le Juif, idiot." (". Er ist der Jude, Idiot du") Eric a toujours eu pour m'aider avec la prononciation correcte: appâtage juif n'était pas seulement désagréable - ceux qui ont l'envie de le faire étaient également assez stupide à penser qu'ils pourraient dire qui était juif et qui n'a pas été.

Vienne ... ... est une petite ville, son célèbre antisémitisme n'est qu'une partie d'un provincialisme mesquin - un ensemble de xénophobie, d'un soupçon (conduisant à la haine) de tous les étrangers.

adm-janine a écrit:

'''''traduction google """


A Vienne, j'ai partagé un appartement au Schwindgasse, à côté de la salle de lecture polonaise, avec un compatriote nommé Ross Eric, il était originaire de Chicago. Eric était grand et athlétique, avec couleur miel, cheveux bouclés, en skis, en particulier, il était l'image même de la perfection aryenne, mais bien sûr qu'il était juif - et les plus avertis de la multitude des formes insidiuouses de l'antisémitisme en Autriche . Je ne savais rien à propos des antisémites, mais j'ai appris. J'étais à court et sombre et mon nom de famille était Irving - un nom écossais, mais assez commun comme un prénom juif de sorte que plusieurs viennois antisémites ont été confondus. (C'est sur ​​le plan de l'intelligence avec la pensée que John Milton était juif en raison de Milton Friedman, mais - comme Eric Ross était sage de le souligner -. Personne n'a jamais dit que les antisémites étaient intelligents) Eric et moi avons développé une routine pour detecter les antisémites. Que j'ai été maltraité par un serveur ou un commerçant, ou par un autre étudiant à l'Université de Vienne, il était seulement nécessaire pour le moindre soupçon d'une insulte antisémite à émerger, je ne voudrais pas manquer rarement l'insulte - mon allemand être aussi défaillantes que c'était - mais Eric, dont allemande était beaucoup mieux que la mienne, serait immédiatement alerter moi de l'insulte.
"Vous êtes traité comme un Juif nouveau», Eric me disait.

Là-dessus, pointant vers Eric, je voudrais offrir ma ligne bien rodée à l'antisémite fautif: «Il est le Juif, idiot." (". Er ist der Jude, Idiot du") Eric a toujours eu pour m'aider avec la prononciation correcte: appâtage juif n'était pas seulement désagréable - ceux qui ont l'envie de le faire étaient également assez stupide à penser qu'ils pourraient dire qui était juif et qui n'a pas été.

Vienne ... ... est une petite ville, son célèbre antisémitisme n'est qu'une partie d'un provincialisme mesquin - un ensemble de xénophobie, d'un soupçon (conduisant à la haine) de tous les étrangers.

Mieux eût valu laisser ce texte incompréhensible aux non-anglophones que leur servir ce charabia indigeste !

je fais ce que je peux

adm-janine a écrit:

je fais ce que je peux

Tes efforts sont louables, mais devant le résultat désastreux de cette traduction, il eût mieux valu ne pas la publier.