je viens de lire 2 livres vécus écrits par 2 allemandes qui vivaient à berlin à partir de 1941 et jusqu'à l'entrée des russes
l'une ne parle quasiment pas des juifs ni des camps
l'autre au contraire raconte son dégoût et comment elle a rejeté sa mere qui était surveillante à auschwitz
c'est clair plus la fin de la guerre approchait et plus les conditions de vie des berlinois etaient insupportables et même inhumaines
et d'une part j'ai lu les 2 livres d'une traite
d'autre part j'ai vraiment été bouleversee par moments en particulier avec les centaines de milliers de viols faits par des soldats russes bourrés
et je me suis demandé: c'est normal que j'aie tant de peine sachant tout ce qu'ont subi les déportés ? j'avais l'impression d'une trahison
savez vous que les soldats russes arrachaient tous les bracelets montres ? en russie à l'époque c'était un objet de luxe, tres tres rare, montre se disait "urri "