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Vincent Benoît Camille Peillon est le fils de Gilles Peillon (1928-2007), banquier et communiste, qui fut directeur général de la première banque soviétique hors d'URSS[2], la Banque Commerciale pour l'Europe du Nord – Eurobank, puis de la banque franco-algérienne Union méditerranéenne de banque[3]. Du côté maternel, il est issu d'une famille juive alsacienne[4] : sa mère, Françoise Blum, née en 1930, fut directrice de recherche à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), spécialiste en physiopathologie de l'hypophyse ; son grand-père était le professeur Léon Blum (1878-1930)[5], spécialiste de la physiopathologie rénale à Strasbourg, initiateur de l'insulinothérapie en France, fils aîné du rabbin Félix Blum (1847-1925) et de Jeannette Lederman ; sa grand-mère Thérèse Lion (1894-1985) est la fille d'un assureur de Moselle, avocate et féministe, dont le militantisme marqua particulièrement le jeune Vincent[6] ; son oncle maternel est Étienne-Émile Baulieu (né Étienne Blum), coinventeur de la pilule RU 486, professeur honoraire au Collège de France, et sa tante maternelle est Suzanne de Brunhoff économiste au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), belle-fille du créateur de Babar[7].
Vincent Peillon est le frère du journaliste Antoine Peillon[8].
Il est père de quatre enfants : deux filles nées de son premier mariage, et deux fils nés de son union en secondes noces avec la journaliste Nathalie Bensahel[9], rédactrice en chef adjointe au service « Notre Époque » de l'hebdomadaire du Nouvel Observateur[10]."""""
www.wikipedia.org/wiki/vincent_peillon PUREE QUELLE FAMILLE DE TETES